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LIBYE. "Il ne faut pas oublier que la Libye est la porte d'entrée du continent africain !" affirme Hany Hassan Soufrakis, directeur exécutif de Barcah Gruppo.
Cet homme d'affaires libyen qui partage sa vie entre Tripoli et le Caire où est basée son entreprise familiale, s'exprimait jeudi 22 septembre 2011 à Alexandrie à l'occasion du premier sommet annuel du business en Méditerranée (Euromed invest).
"La révolution du 17 janvier 2011 a apporté beaucoup d'opportunités de développement à notre pays. Nous aurons besoin de compétences dans les domaines de l'énergie, des infrastructures, de l'agriculture et du tourisme notamment."
Tout en précisant que "la Libye possède des milliers de kilomètres de côtes vierges, des sites archéologiques romains et grecs", Hany Hassan Soufrakis insiste sur les potentialités offertes par l'ouverture de ce pays et principalement pour le tourisme culturel.
Répondant aux questions d'econostrum.info, l'homme d'affaires libyen se veut réaliste : "notre révolution n'est pas terminée. Quelques parties de notre territoire restent encore en guerre. Il faudra encore du temps pour remettre de l'ordre dans la maison. Au contraire de l'Égypte et de la Tunisie, nous avons tout changé. Il n'existe plus d'administration. Les lois sur la propriété vont être revues en priorité, mais aussi les détentions d'actifs de différentes personnes !"
Le chantier reste large. "Notre système éducatif est plus faible que dans les autres pays de la région. C'est un des challenges auquel nous devons travailler" prévient-il. Autres incertitudes, "la place à laisser aux PME dans ces marchés et les relations que devra développer la Libye avec l'Égypte et la Tunisie", les deux soeurs révolutionnaires. "Il y aura des opportunités pour les pays de la région et nous allons réviser les lois sur les investissements" insiste-t-il toutefois.
Hany Hassan Soufrakis révèle qu'une réunion avec les entreprises européennes suivie de visites de sites est en discussion actuellement dans le gouvernement provisoire.
Cet homme d'affaires libyen qui partage sa vie entre Tripoli et le Caire où est basée son entreprise familiale, s'exprimait jeudi 22 septembre 2011 à Alexandrie à l'occasion du premier sommet annuel du business en Méditerranée (Euromed invest).
"La révolution du 17 janvier 2011 a apporté beaucoup d'opportunités de développement à notre pays. Nous aurons besoin de compétences dans les domaines de l'énergie, des infrastructures, de l'agriculture et du tourisme notamment."
Tout en précisant que "la Libye possède des milliers de kilomètres de côtes vierges, des sites archéologiques romains et grecs", Hany Hassan Soufrakis insiste sur les potentialités offertes par l'ouverture de ce pays et principalement pour le tourisme culturel.
Répondant aux questions d'econostrum.info, l'homme d'affaires libyen se veut réaliste : "notre révolution n'est pas terminée. Quelques parties de notre territoire restent encore en guerre. Il faudra encore du temps pour remettre de l'ordre dans la maison. Au contraire de l'Égypte et de la Tunisie, nous avons tout changé. Il n'existe plus d'administration. Les lois sur la propriété vont être revues en priorité, mais aussi les détentions d'actifs de différentes personnes !"
Le chantier reste large. "Notre système éducatif est plus faible que dans les autres pays de la région. C'est un des challenges auquel nous devons travailler" prévient-il. Autres incertitudes, "la place à laisser aux PME dans ces marchés et les relations que devra développer la Libye avec l'Égypte et la Tunisie", les deux soeurs révolutionnaires. "Il y aura des opportunités pour les pays de la région et nous allons réviser les lois sur les investissements" insiste-t-il toutefois.
Hany Hassan Soufrakis révèle qu'une réunion avec les entreprises européennes suivie de visites de sites est en discussion actuellement dans le gouvernement provisoire.