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Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque

Le nouveau premier ministre est suivi par son Parlement qui adopte un plan d'austérité pour sauver la Grèce (photo F.Dubessy)
GRECE. Le Parlement grec a adopté, mercredi 7 décembre 2011, un budget d'austérité purgatif, prévoyant une forte diminution du déficit public.
Une détermination à rester dans la zone euro sans faille malgré les rumeurs de retour à la Drachme. Le plan pour 2012 a été adopté par 258 voix sur 299 votants, 41 députés s'exprimant contre. Une victoire pour le nouveau gouvernement de coalition (socialiste, droite, extrême droite) dirigé par Lucas Papademos.
Au menu du budget 2012 : baisse des salaires des fonctionnaires, nouvelles hausses d'impôts, diminution du nombre de salariés dans le secteur public. Cependant, le plan ne touche pas l'armée. À l'inverse, le budget militaire et le budget pour le ministère de l'Intérieur augmenteront en 2012, en raison selon le gouvernement de la "menace" turque.
Si la Grèce applique concrètement les réformes, le gouvernement table sur un excédent primaire pour 2012 de 1,1%. Le déficit public devrait se contracter en 2012 à 5,4 % du PIB, contre 9 % attendus en 2011.
"La Grèce est et restera une partie de l'Europe unie et de l'euro" a souligné Lucas Papademos.
Une détermination à rester dans la zone euro sans faille malgré les rumeurs de retour à la Drachme. Le plan pour 2012 a été adopté par 258 voix sur 299 votants, 41 députés s'exprimant contre. Une victoire pour le nouveau gouvernement de coalition (socialiste, droite, extrême droite) dirigé par Lucas Papademos.
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"La Grèce est et restera une partie de l'Europe unie et de l'euro" a souligné Lucas Papademos.