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GRECE. Selon Elstat, l'agence statistique grecque, la Grèce a dégagé, en 2016, un excédent budgétaire primaire (hors service de la dette) de 3,9% du Produit intérieur brut (PIB) à 6,93 mrds€. Il s'établissait à -2,3% en 2015.
Ses créanciers, Fonds monétaire international (FMI) et Union européenne (UE), avaient demandé à Athènes en juillet 2015 lors de la signature du troisième programme de prêts (86 mrds€) d'atteindre un excédent de 0,5% du PIB en 2016 et de 3,5% en 2018.
Cette avance de deux ans sur le tableau de marche ne doit cependant pas masquer les efforts effectués par le gouvernement et la population ainsi que la dette abyssale du pays évaluée à 314,89 mrds€ par Elstat à fin 2016, soit 179% du PIB.
"Nous avons rempli nos obligations en dépit de l'énorme coût social et économique", commente Alexis Tsipras. Le premier ministre grec demande toujours à ses créanciers un allégement de la dette. Et reste dans l'attente du versement d'une nouvelle tranche de prêts pour faire face à ses échéances de juillet 2017 avec une facture de 7 mrds€.
Lire aussi :La Grèce aurait réalisé une croissance nulle en 2016
Ses créanciers, Fonds monétaire international (FMI) et Union européenne (UE), avaient demandé à Athènes en juillet 2015 lors de la signature du troisième programme de prêts (86 mrds€) d'atteindre un excédent de 0,5% du PIB en 2016 et de 3,5% en 2018.
Cette avance de deux ans sur le tableau de marche ne doit cependant pas masquer les efforts effectués par le gouvernement et la population ainsi que la dette abyssale du pays évaluée à 314,89 mrds€ par Elstat à fin 2016, soit 179% du PIB.
"Nous avons rempli nos obligations en dépit de l'énorme coût social et économique", commente Alexis Tsipras. Le premier ministre grec demande toujours à ses créanciers un allégement de la dette. Et reste dans l'attente du versement d'une nouvelle tranche de prêts pour faire face à ses échéances de juillet 2017 avec une facture de 7 mrds€.
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