
L'euro connaît une remontée depuis l'annonce de ce prêt à la Grèce (photo F.Dubessy)
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GRECE / EUROPE. 80 mds€, dont la moitié sur la première année : c'est la somme maximale que pourrait emprunter la Grèce sur un programme triennal de prêts bilatéraux. Ainsi en auraient décidé les pays de la zone euro après un accord entre la Commission européenne (CE), la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI).
Au-delà de l'enveloppe consentie pour redresser les finances de la Grèce, le plus important était le montant du taux. Sur la première année, le FMI (10 mds€) et les pays de l'eurozone (30 mds€) prêteront à des taux voisins de 5%.
Ces informations ont filtré dimanche 12 avril 2010 de sources grecques avant d'être qualifiées, par la Commission européenne le lundi 13 avril 2010 de "pure spéculation". La CE refuse de confirmer le chiffre de 80 mds€. « Le seul chiffre sur la table pour l'instant est une ligne de prêts de 30 milliards des pays de la zone euro pour la première année» a précisé Amadeu Altafaj Tardio, porte-parole de la Commission en charge des Affaires économiques.
Quoiqu'il en soit, il est prévu qu'il appartient au gouvernement grec, et notamment à son ministre des Finances Georges Papaconstantinou, de déclencher ce programme de prêt. L'opération n'apparaît pas d'une urgence absolue, selon les déclarations du principal intéressé dimanche 11 avril 2010, qui affirmait toujours pouvoir emprunter normalement sur les marchés. Reste qu'actuellement, Athènes bénéficierait de taux à 7,5%.
La dette totale du pays s'élève à 300 mds€.
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Quoiqu'il en soit, il est prévu qu'il appartient au gouvernement grec, et notamment à son ministre des Finances Georges Papaconstantinou, de déclencher ce programme de prêt. L'opération n'apparaît pas d'une urgence absolue, selon les déclarations du principal intéressé dimanche 11 avril 2010, qui affirmait toujours pouvoir emprunter normalement sur les marchés. Reste qu'actuellement, Athènes bénéficierait de taux à 7,5%.
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