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GRECE. La Grèce manquerait à son devoir de lutte contre la corruption selon l'OCDE. En effet, un nouveau rapport, publié mercredi 20 juin 2012, mettrait en évidence la négligence du pays quant à l'ouverture rapide d'enquêtes sur des affaires de corruption transnationale et le manque d'information des parties prenantes sur ses efforts anticorruption.
Le Groupe de travail de l'OCDE sur la corruption tenait en référence pour appuyer ses conclusions, la Convention sur la lutte contre la corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales et des instruments connexes.
Cependant, le rapport prend en compte les efforts déployés dans l'amélioration de son dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et sa législation "visant à interdire aux sociétés qui corrompent des agents publics étrangers de remporter des marchés publics".
L'organisme recommande au pays d'ouvrir plus systématiquement des enquêtes, d'engager des "poursuites sur toutes les affaires de corruption transnationale", de mieux informer et sensibiliser les parties prenantes (juges et procureurs) à l’infraction de corruption transnationale et de mettre en place une législation protégeant les "donneurs d’alerte".
En conséquence, le groupe de travail mettra en place une deuxième évaluation afin "d'examiner de manière plus approfondie les mesures de mise en œuvre prises par la Grèce" plus actuelles et de se pencher sur de nouvelles problématiques "qui n'ont pas pu être appréciées pleinement au cours de la première évaluation"
Voir aussi : La corruption terrasse l'Europe selon Transparency International
Le Groupe de travail de l'OCDE sur la corruption tenait en référence pour appuyer ses conclusions, la Convention sur la lutte contre la corruption d’agents publics étrangers dans les transactions commerciales internationales et des instruments connexes.
Cependant, le rapport prend en compte les efforts déployés dans l'amélioration de son dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et sa législation "visant à interdire aux sociétés qui corrompent des agents publics étrangers de remporter des marchés publics".
L'organisme recommande au pays d'ouvrir plus systématiquement des enquêtes, d'engager des "poursuites sur toutes les affaires de corruption transnationale", de mieux informer et sensibiliser les parties prenantes (juges et procureurs) à l’infraction de corruption transnationale et de mettre en place une législation protégeant les "donneurs d’alerte".
En conséquence, le groupe de travail mettra en place une deuxième évaluation afin "d'examiner de manière plus approfondie les mesures de mise en œuvre prises par la Grèce" plus actuelles et de se pencher sur de nouvelles problématiques "qui n'ont pas pu être appréciées pleinement au cours de la première évaluation"
Voir aussi : La corruption terrasse l'Europe selon Transparency International