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Les privatisations toucheront largement le secteur des transports (photo CC-P. Richards)
GRECE. La Grèce était à nouveau en panne ce jeudi 3 juin alors que les agents des transports publics, ainsi que les journalistes de l’audiovisuel, ont cessé le travail pour protester contre les mesures d’austérité du gouvernement. Les deux principales centrales syndicales du pays appellent en outre à de grands rassemblements le week-end prochain.
Le 2 juin le gouvernement de Georges Papandréou a en outre lancé un appel aux investisseurs, grecs et étrangers, en présentant le plan de privatisation qui doit permettre à la Grèce de récupérer plusieurs milliards d’euros au cours des trois prochaines années.
Pour réduire le déficit public, l’Etat grec veut notamment vendre 49% de la compagnie ferroviaire déficitaire OSE, 39% de la Poste, 23% de la Compagnie d’eau de Thessalonique et 10% de celle d’Athènes, toutes deux cotées en Bourse.
Athènes mettra également sur le marché une partie du capital de la société des jeux, de l’opérateur de télécommunications OTE et du groupe d’électricité PPC.
Le gouvernement grec s’était engagé à élaborer un plan de privatisation en échange du plan d'aide de 110 mds€ de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI), l’objectif étant de récolter au moins 1 md€ par an. Selon le ministre des Finances, le programme de privatisation devrait rapporter bien plus que cela.
Lire aussi :
Mobilisation pour éviter la contagion grecque sur la zone euro
La rue grecque refuse violemment l'austérité imposée à son pays par l'Europe et le FMI
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Athènes mettra également sur le marché une partie du capital de la société des jeux, de l’opérateur de télécommunications OTE et du groupe d’électricité PPC.
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