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L'euro est encore fragilisé par la situation grecque (photo F.Dubessy)
GRECE. Le gouvernement grec appelle à une baisse des taux d'intérêts et à un soutien financier plus fort des pays européens.
Athènes souhaite assouplir les mesures d'austérité qui ont conditionné l'octroi de 110 M€ du plan de sauvetage. Le quotidien allemand "Die Welt" rapporte que le gouvernement grec considère ces mesures comme contraignantes et pouvant bloquer la croissance économique grecque.
Le gouvernement grec demande également à ce que de nouveaux soutiens puissent permettre un allongement "des obligations venant à maturité en 2010 pour un montant de 65 mrds €". Le ministre britannique des finances, Georges Osborne, s'est, quant à lui, déclaré contre l'octroi d'une aide supplémentaire à la Grèce.
Par ailleurs, les craintes sur la sortie de la zone euro de la Grèce et sur ses difficultés économiques s'amplifient. En effet, même la Bourse de Paris a été touchée ce lundi 9 mai 2011 par une baisse de 0.95%, les investisseurs se montrant plus frileux particulièrement dans le secteur bancaire.
L'ensemble des pays de l'Union européenne a pourtant exprimé de manière claire leurs refus de la sortie de la Grèce de l'euro, lors d'une réunion le vendredi 7 mai 2011 au soir. Ils ont à nouveau souhaité soutenir la Grèce à travers une réunion ministérielle informelle, le vendredi 7 mai 2011 avec, autour de la table, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Luxembourg, Olli Rehn (Commission européenne) et Jean-Claude Trichet (BCE). Ceux-ci se sont déclarés prêts à trouver des solutions pour que la Grèce puisse débourser environ 23 mrds € pour des titres de la dette arrivés à échéance.
Athènes souhaite assouplir les mesures d'austérité qui ont conditionné l'octroi de 110 M€ du plan de sauvetage. Le quotidien allemand "Die Welt" rapporte que le gouvernement grec considère ces mesures comme contraignantes et pouvant bloquer la croissance économique grecque.
Le gouvernement grec demande également à ce que de nouveaux soutiens puissent permettre un allongement "des obligations venant à maturité en 2010 pour un montant de 65 mrds €". Le ministre britannique des finances, Georges Osborne, s'est, quant à lui, déclaré contre l'octroi d'une aide supplémentaire à la Grèce.
Par ailleurs, les craintes sur la sortie de la zone euro de la Grèce et sur ses difficultés économiques s'amplifient. En effet, même la Bourse de Paris a été touchée ce lundi 9 mai 2011 par une baisse de 0.95%, les investisseurs se montrant plus frileux particulièrement dans le secteur bancaire.
L'ensemble des pays de l'Union européenne a pourtant exprimé de manière claire leurs refus de la sortie de la Grèce de l'euro, lors d'une réunion le vendredi 7 mai 2011 au soir. Ils ont à nouveau souhaité soutenir la Grèce à travers une réunion ministérielle informelle, le vendredi 7 mai 2011 avec, autour de la table, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Luxembourg, Olli Rehn (Commission européenne) et Jean-Claude Trichet (BCE). Ceux-ci se sont déclarés prêts à trouver des solutions pour que la Grèce puisse débourser environ 23 mrds € pour des titres de la dette arrivés à échéance.