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GRECE. Jeudi 12 juillet, les États de la zone euros ont décidé de maintenir la Grèce dans un « cadre de surveillance renforcée », c'est à dire sous une stricte surveillance de la Commission européenne, après sa sortie du programme de sauvetage prévue pour le 20 août 2018.
En échange d'un allègement de sa dette, la Grèce devra recevoir quatre fois par an des experts européens chargés de vérifier que le gouvernement réalise les privatisations prévues, poursuit sa politique d'austérité par des hausses de taxes et des économies budgétaires, limite l'endettement privé. « Il est important que le pays poursuive des politiques budgétaires et macroéconomiques prudentes, et achève les réformes convenues. La surveillance renforcée est là pour aider la Grèce à instaurer la confiance avec les marchés, les investisseurs et les entreprises » explique le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis.
La dette actuelle de la Grèce représente 178% de son PIB.
En échange d'un allègement de sa dette, la Grèce devra recevoir quatre fois par an des experts européens chargés de vérifier que le gouvernement réalise les privatisations prévues, poursuit sa politique d'austérité par des hausses de taxes et des économies budgétaires, limite l'endettement privé. « Il est important que le pays poursuive des politiques budgétaires et macroéconomiques prudentes, et achève les réformes convenues. La surveillance renforcée est là pour aider la Grèce à instaurer la confiance avec les marchés, les investisseurs et les entreprises » explique le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis.
La dette actuelle de la Grèce représente 178% de son PIB.