
La Grèce s'inquiète d'une vague d'annulation de nuitées touristiques (photo FD)
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GRECE. Après avoir enregistré une chute de 6,4% du nombre de touristes étrangers en 2009, la Grèce met en place un comité de crise pour tenter d’enrayer la crise qui s’annonce sur un secteur clé pour l’économie du pays.
Après les violentes manifestations de ces dernières semaines, l’Association des hôteliers d’Athènes (AHA) a indiqué que près de 20.000 nuitées ont été annulées entre le 5 et le 13 mai 2010. Et ce chiffre continue d’augmenter et la tendance toucherait l’ensemble du pays.
Un mauvais coup dont la Grèce n’avait vraiment pas besoin. Le tourisme représente près de 17 % du produit intérieur brut (PIB) du pays et un emploi sur cinq.
En 2009, alors que le ministère du Tourisme craignait un chute de 10% des arrivées en raison de la crise économique mondiale, une série de mesures avait été prises pour soutenir le secteur comme la suppression pendant six mois des taxe d’atterrissage et de stationnement des avions dans les aéroports (hormis celui d’Athènes). La mesure, mise en place entre avril et septembre 2009, a coûté 8 M€ d’euros à l’Etat grec.
Sous les feux de la rampe depuis des mois pour cause de déficit massif, de dette gigantesque et de fraude sur les chiffres publics, la Grèce craint désormais les conséquences durables de cette mauvaise publicité sur la destination Grèce.
Après les violentes manifestations de ces dernières semaines, l’Association des hôteliers d’Athènes (AHA) a indiqué que près de 20.000 nuitées ont été annulées entre le 5 et le 13 mai 2010. Et ce chiffre continue d’augmenter et la tendance toucherait l’ensemble du pays.
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