
Le Parlement grec durcit encore plus les mesures d'austérité (photo Parlement grec)
Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
GRECE. La ceinture se porte de plus en plus serrée en Grèce. Dans la nuit du mercredi 22 au jeudi 23 décembre 2010, le Parlement grec a adopté un budget 2011 basé sur 14 mds€ d'économies.
L'ensemble de ces mesures d'austérité visent à réduire de 9,4% en 2010 à 7,4% du PIB la part du déficit budgétaire du pays. Soit un déficit budgétaire de 17 mds€ en 2011.
Parmi les nouvelles mesures d'austérité, le pays annonce de nouvelles coupes salariales, une hausse de la TVA de 11 à 13% et de 5,5 à 6,5%, des coupes dans les budgets de la défense et de la santé, un durcissement de la lutte contre la fraude fiscale et des privatisations.
L'ensemble de ces mesures d'austérité visent à réduire de 9,4% en 2010 à 7,4% du PIB la part du déficit budgétaire du pays. Soit un déficit budgétaire de 17 mds€ en 2011.
Une condition sine qua non pour continuer à percevoir les aides de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI) et notamment, en février 2011, la quatrième tranche d'un montant de 15 mds€ à valoir sur une enveloppe totale de 110 mds€.
Mercredi 22 décembre 2010 les manifestations et les mouvements de grève ont encore paralysés Athènes. La grève dans les transports se poursuit, par intermittence, depuis deux semaines.