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GRECE. La réunion de l'Eurogroupe, lundi 20 février 2017 à Bruxelles, débouche sur un accord avec les représentants grecs pour reprendre les négociations sur l'évaluation de l'application du plan de soutien en cours. Athènes a accepté de faire de nouvelles concessions pour satisfaire ses créanciers, la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI). Ce dernier, hésitant encore à se lancer dans le plan d'aide en cours qui s'achève mi-2018, réclame soit des mesures encore plus drastiques, soit un abandon d'une partie des créances.
La Grèce va donc, encore une fois, s'engager dans des réformes destinées à atteindre les objectifs financiers fixés par le troisième plan d'aide signé en août 2015. Et ainsi pouvoir débloquer une nouvelle tranche du prêt de 86 mrds€ - 32 mrds€ ont déjà été décaissé au prix de coupes dans les dépenses publiques et d'augmentation des recettes fiscales - mais aussi rembourser 7 mrds€, notamment à la Banque centrale européenne (BCE), cet été comme convenu. Son ministre des Finances, Euclid Tsakalotos, a fait part de son accord pour "pré-légiférer des mesures afin de remplir les objectifs."
Les créanciers "vont travailler avec les autorités grecques sur un paquet supplémentaire de réformes structurelles du système fiscal, du système des retraites et de la régulation du marché du travail" annonce Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe. Une mission technique composée de représentants des créanciers se rendra prochainement à Athènes pour discuter dans le détail des mesures à prendre et finaliser l'accord.
Athènes devra donc encore légiférer pour montrer sa bonne volonté à respecter les objectifs budgétaires.
La Grèce va donc, encore une fois, s'engager dans des réformes destinées à atteindre les objectifs financiers fixés par le troisième plan d'aide signé en août 2015. Et ainsi pouvoir débloquer une nouvelle tranche du prêt de 86 mrds€ - 32 mrds€ ont déjà été décaissé au prix de coupes dans les dépenses publiques et d'augmentation des recettes fiscales - mais aussi rembourser 7 mrds€, notamment à la Banque centrale européenne (BCE), cet été comme convenu. Son ministre des Finances, Euclid Tsakalotos, a fait part de son accord pour "pré-légiférer des mesures afin de remplir les objectifs."
Les créanciers "vont travailler avec les autorités grecques sur un paquet supplémentaire de réformes structurelles du système fiscal, du système des retraites et de la régulation du marché du travail" annonce Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe. Une mission technique composée de représentants des créanciers se rendra prochainement à Athènes pour discuter dans le détail des mesures à prendre et finaliser l'accord.
Athènes devra donc encore légiférer pour montrer sa bonne volonté à respecter les objectifs budgétaires.