
Le tarif de la Zoe tombe (photo Renault)
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FRANCE. Arnaud Montebourg, ministre français du redressement productif, a annoncé mercredi 25 juillet 2012 un plan de redressement de la filière automobile en plein marasme.
Ce plan prévoit de favoriser les véhicules propres. Ainsi, le bonus maximal (qui entre en vigueur dès le 25 juillet 2012) pour une voiture électrique sera porté de 5 000 à 7 000€. Pour un véhicule hybride il passera de 2 000 à 4 000 € et pour les véhicules thermiques il sera augmenté de 100 à 150 € selon les cas pour des subventions actuelles de 100 à 400 €.
Reste qu'au premier semestre 2012, il ne s'est vendu que 2 270 voitures électriques et 10 350 hybrides en France. La portée de la mesure s'avère donc surtout symbolique.
Comme ce plan touchera toutes les automobiles quelque soit leur lieu de production, Arnaud de Montebourg annonce une campagne de "mise en valeur de l'automobile française" tout en critiquant avec véhémence les "actes de concurrence déloyale". Le ministre français vise notamment l'industrie automobile coréenne signataire en octobre 2010 d'un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
L’État français s'est dans le même temps engagé à acheter 11 000 véhicules électriques ou hybrides par an soit 25% de ses commandes totales.
Ce plan devrait coûter à l’État français entre 100 et 150 M€ en 2012 et 490 M€ en 2013. Pour compenser, le gouvernement compte sur une augmentation du malus qui touche les véhicules les plus polluants (émettant plus de 180g/km de CO²) mais cette hausse n'interviendra qu'à partir du 1er janvier 2013.
Parallèlement, le gouvernement va accorder 350 M€ de crédits d'investissements d'avenir, existants en fait, mais qui seront réorientés pour soutenir la R&D du secteur automobile.
Ce plan prévoit de favoriser les véhicules propres. Ainsi, le bonus maximal (qui entre en vigueur dès le 25 juillet 2012) pour une voiture électrique sera porté de 5 000 à 7 000€. Pour un véhicule hybride il passera de 2 000 à 4 000 € et pour les véhicules thermiques il sera augmenté de 100 à 150 € selon les cas pour des subventions actuelles de 100 à 400 €.
Reste qu'au premier semestre 2012, il ne s'est vendu que 2 270 voitures électriques et 10 350 hybrides en France. La portée de la mesure s'avère donc surtout symbolique.
Comme ce plan touchera toutes les automobiles quelque soit leur lieu de production, Arnaud de Montebourg annonce une campagne de "mise en valeur de l'automobile française" tout en critiquant avec véhémence les "actes de concurrence déloyale". Le ministre français vise notamment l'industrie automobile coréenne signataire en octobre 2010 d'un accord de libre-échange avec l'Union européenne.
L’État français s'est dans le même temps engagé à acheter 11 000 véhicules électriques ou hybrides par an soit 25% de ses commandes totales.
Ce plan devrait coûter à l’État français entre 100 et 150 M€ en 2012 et 490 M€ en 2013. Pour compenser, le gouvernement compte sur une augmentation du malus qui touche les véhicules les plus polluants (émettant plus de 180g/km de CO²) mais cette hausse n'interviendra qu'à partir du 1er janvier 2013.
Parallèlement, le gouvernement va accorder 350 M€ de crédits d'investissements d'avenir, existants en fait, mais qui seront réorientés pour soutenir la R&D du secteur automobile.