
François Hollande veut prendre en compte les avis de l'ensemble de la région du Moyen-Orient (photo Elysée)
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ISRAËL / AUTORITÉ PALESTINIENNE. Alors que s'achève, vendredi 3 juin 2016 au Centre de convention ministériel à Paris, en l'absence des deux parties, la conférence internationale sur Israël et la Palestine débouche seulement sur des déclarations comme prévu. "Le premier but de cette conférence est de confirmer collectivement que la paix passera par deux États, Israël et un État palestinien, vivant côte à côte dans la sécurité" clame François Hollande. Les pourparlers entre Palestiniens et Israéliens se trouvent au point mort depuis 2014.
Pour le président français, qui s'exprimait devant le secrétaire d'Etat américain John Kerry, le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon et une trentaine de ministres des Affaires étrangères, "les seuls gagnants du statu quo seront les extrémistes de tous bords."
François Hollande veut prendre en compte l'ensemble des pays de la région du Moyen-Orient dans le règlement de ce conflit. "Les menaces et les priorités ont changé" indique-t-il.
En clôture de cette conférence, Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères, a dit "espérer d'ici la fin de l'année" une reprise des négociations directes entre Palestiniens et Israéliens. "La solution de deux États est en grave danger, nous approchons du point de non-retour où cette solution ne sera plus possible" indique-t-il.
Dans le communiqué final, les participants affirment que les implantations israéliennes mettent en péril la perspective d'une solution à deux États. En 1993, les accords de paix d'Oslo prévoyaient la création d'un État palestinien dans les cinq ans...
Pour le président français, qui s'exprimait devant le secrétaire d'Etat américain John Kerry, le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon et une trentaine de ministres des Affaires étrangères, "les seuls gagnants du statu quo seront les extrémistes de tous bords."
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En clôture de cette conférence, Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères, a dit "espérer d'ici la fin de l'année" une reprise des négociations directes entre Palestiniens et Israéliens. "La solution de deux États est en grave danger, nous approchons du point de non-retour où cette solution ne sera plus possible" indique-t-il.
Dans le communiqué final, les participants affirment que les implantations israéliennes mettent en péril la perspective d'une solution à deux États. En 1993, les accords de paix d'Oslo prévoyaient la création d'un État palestinien dans les cinq ans...