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Jean-Marc Ayrault signe 3,5 mrds€ pour Marseille (Photo site JM Ayrault)
FRANCE. En visite à Marseille, le premier ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé, vendredi 8 novembre 2013, une nouvelle série de mesures en faveur de l'emploi, du développement des transports, de la rénovation urbaine, de la santé ou de la constitution de la métropole marseillaise.
Parmi les « défis » que se fixe le gouvernement pour « faire de Marseille la porte méditerranéenne de l'Europe d'ici quinze ans », l'investissement dans les transports occupe une place de choix : 2,5 mrds€ devraient être investis dans la réalisation d'une gare souterraine afin de faire voyager « deux tiers de voyageurs de plus qu'aujourd'hui », une mesure qui avait déjà été actée en juin 2013. « Afin de garantir une desserte performante des équipements portuaires », la commission du débat public sera saisie avant fin 2014 pour le projet de construction d'une liaison autoroutière complète entre Fos-sur-Mer et Salon-de-Provence.
Jean-Marc Ayrault « souhaite que le prochain contrat de plan achève la déviation de Miramas en 2016 et le contournement de Martigues-Port de Bouc avant 2020 ». « L'objectif doit être de créer 20 000 emplois directs et indirects supplémentaires liés à l'activité portuaire en misant sur le trafic conteneurs et l'industrie portuaire ». Des mesures sont également prévues afin de développer les liaisons entre les villes du territoire métropolitain, tant par train que par route.
Jean-Marc Ayrault a également décidé la mise en place d'une mission de préfiguration sur l'après-Capitale européenne de la culture 2013 « pour poursuivre le travail entre État, collectivités, acteurs culturels et du monde économique » : « il s'agira de concevoir un rendez-vous, de type biennal, de référence internationale ». La candidature de Marseille au titre de capitale européenne du sport en 2017 sera en outre soutenue par l’État.
Les élus locaux opposés au projet et de métropole défendu par l'État ont par ailleurs obtenu une meilleure représentativité au sein des conseils territoriaux ainsi que le maintien de certaines prérogatives aux maires, notamment la main sur les permis de construire.
Au total, c'est près de 3,5 mrds€ que le Premier ministre a mis sur la table. Ces annonces font suite à la mise en œuvre, en septembre 2012, du plan d'action pour l'agglomération d'Aix-Marseille.
Parmi les « défis » que se fixe le gouvernement pour « faire de Marseille la porte méditerranéenne de l'Europe d'ici quinze ans », l'investissement dans les transports occupe une place de choix : 2,5 mrds€ devraient être investis dans la réalisation d'une gare souterraine afin de faire voyager « deux tiers de voyageurs de plus qu'aujourd'hui », une mesure qui avait déjà été actée en juin 2013. « Afin de garantir une desserte performante des équipements portuaires », la commission du débat public sera saisie avant fin 2014 pour le projet de construction d'une liaison autoroutière complète entre Fos-sur-Mer et Salon-de-Provence.
Jean-Marc Ayrault « souhaite que le prochain contrat de plan achève la déviation de Miramas en 2016 et le contournement de Martigues-Port de Bouc avant 2020 ». « L'objectif doit être de créer 20 000 emplois directs et indirects supplémentaires liés à l'activité portuaire en misant sur le trafic conteneurs et l'industrie portuaire ». Des mesures sont également prévues afin de développer les liaisons entre les villes du territoire métropolitain, tant par train que par route.
Jean-Marc Ayrault a également décidé la mise en place d'une mission de préfiguration sur l'après-Capitale européenne de la culture 2013 « pour poursuivre le travail entre État, collectivités, acteurs culturels et du monde économique » : « il s'agira de concevoir un rendez-vous, de type biennal, de référence internationale ». La candidature de Marseille au titre de capitale européenne du sport en 2017 sera en outre soutenue par l’État.
Les élus locaux opposés au projet et de métropole défendu par l'État ont par ailleurs obtenu une meilleure représentativité au sein des conseils territoriaux ainsi que le maintien de certaines prérogatives aux maires, notamment la main sur les permis de construire.
Au total, c'est près de 3,5 mrds€ que le Premier ministre a mis sur la table. Ces annonces font suite à la mise en œuvre, en septembre 2012, du plan d'action pour l'agglomération d'Aix-Marseille.