
Le secrétaire général de l'UPM, Youssef Amrani (photo UpM)
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MAROC / FRANCE. La France et le Maroc réitèrent leurs volontés de concrétisation des projets de l'Union pour la Méditerranée (UpM) afin de consolider la crédibilité de l'organisation.
L'UpM, créée en juillet 2008, regroupe quarante-trois membres et a pour ambition de donner un nouveau souffle à la coopération euroméditerranéenne lancée en 1995 à Barcelone.
Depuis sa création, l'UpM subit certains revers notamment son impuissance à surpasser les blocages du conflit israélo-palestinien. En 2010, notamment, le conflit entre Israël et la Palestine provoqua à deux reprises le report d'un sommet de chefs d'État et de gouvernement de l'organisation.
Pour renforcer sa crédibilité, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération au Maroc, Taïeb Fassi Fihri, souligne l'engagement du pays à renforcer l'UPM "en tant que cadre partenarial adéquat pour accélérer l'intégration régionale entre les deux rives de la Méditerranée". Taïeb Fassi Fihri marque notamment sa volonté de concrétiser le projet de créer une université euroméditerranéenne à Fès et demande au secrétaire général de l'UpM, Youssef Amrani, d'aider le Maroc dans ce projet.
La France juge, quant à elle, plus "que jamais nécessaire" une relance des projets concrets de l'UpM pour surmonter les blocages politiques, selon le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé. "L'UPM ne fonctionne pas en dehors des réalités politiques, mais ce n'est pas une instance dont le rôle est politique. Nous essayons de travailler sur des projets opérationnels", assurait le ministre ajoutant que “le Maroc est pleinement convaincu que l'UPM a toute la légitimité et tout le potentiel pour donner un sens géopolitique à la Méditerranée”.
Youssef Amrani a déclaré, dimanche 10 octobre 2010, que la crédibilité de l'organisation devait se faire à travers notamment la concrétisation des six projets structurants arrêtés par le sommet de Paris en juillet 2008. Citant notamment le projet d'office méditerranéen de la jeunesse, le développement économique, les énergies renouvelables ou encore la protection civile. "Il faut des projets concrets qui ont un impact en terme d'emplois pour soutenir les transitions démocratiques" souligne-t-il.
L'UpM, créée en juillet 2008, regroupe quarante-trois membres et a pour ambition de donner un nouveau souffle à la coopération euroméditerranéenne lancée en 1995 à Barcelone.
Depuis sa création, l'UpM subit certains revers notamment son impuissance à surpasser les blocages du conflit israélo-palestinien. En 2010, notamment, le conflit entre Israël et la Palestine provoqua à deux reprises le report d'un sommet de chefs d'État et de gouvernement de l'organisation.
Pour renforcer sa crédibilité, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération au Maroc, Taïeb Fassi Fihri, souligne l'engagement du pays à renforcer l'UPM "en tant que cadre partenarial adéquat pour accélérer l'intégration régionale entre les deux rives de la Méditerranée". Taïeb Fassi Fihri marque notamment sa volonté de concrétiser le projet de créer une université euroméditerranéenne à Fès et demande au secrétaire général de l'UpM, Youssef Amrani, d'aider le Maroc dans ce projet.
La France juge, quant à elle, plus "que jamais nécessaire" une relance des projets concrets de l'UpM pour surmonter les blocages politiques, selon le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé. "L'UPM ne fonctionne pas en dehors des réalités politiques, mais ce n'est pas une instance dont le rôle est politique. Nous essayons de travailler sur des projets opérationnels", assurait le ministre ajoutant que “le Maroc est pleinement convaincu que l'UPM a toute la légitimité et tout le potentiel pour donner un sens géopolitique à la Méditerranée”.
Youssef Amrani a déclaré, dimanche 10 octobre 2010, que la crédibilité de l'organisation devait se faire à travers notamment la concrétisation des six projets structurants arrêtés par le sommet de Paris en juillet 2008. Citant notamment le projet d'office méditerranéen de la jeunesse, le développement économique, les énergies renouvelables ou encore la protection civile. "Il faut des projets concrets qui ont un impact en terme d'emplois pour soutenir les transitions démocratiques" souligne-t-il.