
L'Union européenne fait face à un afflux massif de migrants ; après l'abandon de l'instauration de quotas obligatoires de réfugiés par pays de l'UE, la Commission doit attendre les déclarations des pays membres. (Photo : WFP/Rein Skullerud)
Ne manquez pas !
-
La Cour des comptes européenne ausculte les 64 000 fonds d'investissement domiciliés dans l'UE
-
La France numéro un mondial de la répression anticoncurrentielle avec 1,8 mrd€ d'amendes dressées en 2020
-
Gefco inaugure un entrepôt de 10 000 m² à Tanger Med
-
La Commission européenne renforce les synergies entre les industries civile, spatiale et de la défense
EUROPE. La France et l'Allemagne ont annoncé jeudi 9 juillet 2015 qu'ils allaient accueillir 21 000 demandeurs d'asile, sur les 60 000 qui attendent d'être répartis dans les pays de l'Union européenne. La France ouvrira ainsi ses frontières à 9 100 personnes et l'Allemagne à 12 100, principalement des Syriens et des Erythréens.
Cette annonce marque un début d'action au sein de l'Union européenne. Selon le Haut-Commissariat pour les Réfugiés des Nations unies, plus de 59 millions de réfugiés ou de déplacés ont fui leur région en 2014, soit 8 millions de plus qu'en 2013, provoquant une crise sans précédent au sein de L'UE, et plus précisément en Italie et en Grèce où les migrants accostent.
Le 26 juin 2015, les États membres de l'Union européenne s'étaient déjà réuni pour trouver un moyen de soulager ces deux pays. Faute d'accord, ils avaient décidé d'abandonner la répartition des migrants selon des quotas obligatoires. À l'issue de discussions difficiles, les dirigeants européens avaient alors consenti à accueillir 60 000 réfugiés sur la base du volontariat. D'autres pays pourraient décider dans les prochains jours de leur contribution au placement des demandeurs d'asile.
Cette annonce marque un début d'action au sein de l'Union européenne. Selon le Haut-Commissariat pour les Réfugiés des Nations unies, plus de 59 millions de réfugiés ou de déplacés ont fui leur région en 2014, soit 8 millions de plus qu'en 2013, provoquant une crise sans précédent au sein de L'UE, et plus précisément en Italie et en Grèce où les migrants accostent.
Le 26 juin 2015, les États membres de l'Union européenne s'étaient déjà réuni pour trouver un moyen de soulager ces deux pays. Faute d'accord, ils avaient décidé d'abandonner la répartition des migrants selon des quotas obligatoires. À l'issue de discussions difficiles, les dirigeants européens avaient alors consenti à accueillir 60 000 réfugiés sur la base du volontariat. D'autres pays pourraient décider dans les prochains jours de leur contribution au placement des demandeurs d'asile.