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FRANCE. Dans le cadre du projet de réforme du code minier, l'Assemblée nationale française a entériné, mercredi 25 janvier 2017 par un amendement, l'interdiction d'explorer et d'exploiter les huiles et gaz de schiste, "par quelque technique que ce soit" sur le territoire national.
La France interdisait déjà, depuis la loi de juillet 2011, la seule technique de fracturation qui demande de très grandes quantités d'eau (20 000 mètres cubes par forage), utilise des produits chimiques dangereux qui contamine des nappes et des eaux de surface et se traduit par des fuites plus importantes de méthane dans l'atmosphère avec un impact sur le gaz à effet de serre.
"Selon le GIEC, l'exploitation des hydrocarbures et du charbon encore dans le sol de la Terre conduirait à la libération de 3 000 milliards de tonnes de CO2 environ. À l'échelle de la Planète, il faudrait refuser d'exploiter un tiers des réserves pétrolières, la moitié des réserves de gaz et plus de 80 % du charbon. Et ce jusqu'en 2050", indique le ministère français de l'environnement qui se félicite de cette décision en phase avec l'Accord de Paris signé lors de la COP21.
La France interdisait déjà, depuis la loi de juillet 2011, la seule technique de fracturation qui demande de très grandes quantités d'eau (20 000 mètres cubes par forage), utilise des produits chimiques dangereux qui contamine des nappes et des eaux de surface et se traduit par des fuites plus importantes de méthane dans l'atmosphère avec un impact sur le gaz à effet de serre.
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