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FRANCE. En 2019, la France intègre pour la première fois le Top 5 du classement annuel publié par A.T. Kearney, en se substituant à la Chine. Cette liste reflète l'indice de confiance accordé par les investisseurs qui déterminent les vingt-cinq pays les plus attractifs pour les investissements directs à l'étranger (IDE). Le cabinet de conseil américain justifie l'entrée de la France dans son Top 5 par "l'amélioration du climat des affaires et la récente baisse du taux d'imposition des sociétés".
Autre nouveauté dans l'histoire de cet indice, les cinq premières places se trouvent occupées uniquement par des marchés développés.
La première place demeure, pour la septième année consécutive, dévolue aux États-Unis suivis par l'Allemagne, le Canada et le Royaume-Uni. La Chine perd deux places et rétrograde au septième rang, son plus bas classement depuis la création de cet indice voici vingt ans. Pékin est précédé par le Japon et devance l'Italie (gain de deux places). Seul autre pays méditerranéen à figurer dans ce classement avec la France et l'Italie, l'Espagne se positionne onzième en gagnant quatre places.
Autre nouveauté dans l'histoire de cet indice, les cinq premières places se trouvent occupées uniquement par des marchés développés.
La première place demeure, pour la septième année consécutive, dévolue aux États-Unis suivis par l'Allemagne, le Canada et le Royaume-Uni. La Chine perd deux places et rétrograde au septième rang, son plus bas classement depuis la création de cet indice voici vingt ans. Pékin est précédé par le Japon et devance l'Italie (gain de deux places). Seul autre pays méditerranéen à figurer dans ce classement avec la France et l'Italie, l'Espagne se positionne onzième en gagnant quatre places.
Les taux d'imposition premier critère de choix pour les IDE

La Chine dépassée par la France pour les IDE (tableau : A.T.Kearney)
77% des investisseurs interrogés par le cabinet américain estiment que les IDE vont progresser dans les années à venir. Pour 32% d'entre eux (contre 26% en 2016), les IDE seront nettement plus importants pour la rentabilité et la compétitivité des entreprises.
Les premiers facteurs de choix d'un pays où investir restent les taux d'impositions et la facilité de paiement de ces taxes (14% des investisseurs interrogés), les capacités technologiques et d'innovation (14%), l'environnement général de sécurité (13%) ainsi que la régulation de la transparence et l'absence de corruption (12%).
Les investisseurs préfèrent combiner les différents modes d'IDE. Ils sont 51% à le faire, tandis que 20% se concentrent uniquement sur les fusions et acquisitions, 15% se tournent vers les investissements verts et 14% choisissent la création de co-entreprises avec des entreprises locales.
Lire le rapport d'A.T. Kearney
Les premiers facteurs de choix d'un pays où investir restent les taux d'impositions et la facilité de paiement de ces taxes (14% des investisseurs interrogés), les capacités technologiques et d'innovation (14%), l'environnement général de sécurité (13%) ainsi que la régulation de la transparence et l'absence de corruption (12%).
Les investisseurs préfèrent combiner les différents modes d'IDE. Ils sont 51% à le faire, tandis que 20% se concentrent uniquement sur les fusions et acquisitions, 15% se tournent vers les investissements verts et 14% choisissent la création de co-entreprises avec des entreprises locales.
Lire le rapport d'A.T. Kearney