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EUROPE / MEDITERRANEE. Au cours de la onzième conférence de la Facilité euroméditerranéenne d'investissement et de partenariat (Femip) qui s'est tenue à Bruxelles mardi 12 juillet 2011, une dizaine de ministres et secrétaires d'Etat des pays méditerranéens ont pu échanger avec Philippe de Fontaine Vive, vice président de la Banque européenne d'investissement (BEI) et Youssef Amrani, secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée (UpM).
Bras financier de la BEI, la Femip a adopté au cours de cette ministérielle son programme sur les trois prochaines années avec comme slogan : "Faire plus, plus vite et avec les autres". Un programme qui a obtenu l'entier soutien du secrétaire général de l'UpM.
La reconstituion du fonds fiduciaire de la Femip créée en octobre 2002 est désormais lancé. Le Luxembourg qui accueille le siège de la BEI, a déjà promis d'amener 1,2 M€ (1 M€ apportés lors de la première phase) et incite les autres états européens à le suivre. L'Espagne a annoncé un engagement de 300 M€ pour notamment soutenir le développement des Pme-Pmi. Dans la première mouture, trente-cinq pays avait apporté 33,5 M€.
Autre satisfaction pour Philippe de Fontaine Vive, l'UpM a confié à la Femip la recherche de fonds auprès des états européens pour construire une usine de désallement de l'eau à Gaza. "Ce n'est pas un projet qui peut être financé par un prêt. Nous allons solliciter les contributions des donateurs pour qu'ils nous les confient et que nous les affections à ce projet. " précise le vice président de la BEI.
Ce premier projet de l'UpM adopté fin juin 2011 par ses membres vise à résoudre la pénurie de l'eau à Gaza en installant une usine de désallement d'eau de mer capable de produire 100 millions de mètres cubes d'eau potable par an. Elle nécessiterait selon le secrétariat général de lUpM un investissement de 310 M€.
Selon les autorités palestiniennes de gestion de l'eau qui poussent le dossier depuis 2003, cette usine représente la meilleure solution pour résoudre la pénurie de l'eau dans la bande de Gaza et donc pour contribuer à la stabilité politique.
Bras financier de la BEI, la Femip a adopté au cours de cette ministérielle son programme sur les trois prochaines années avec comme slogan : "Faire plus, plus vite et avec les autres". Un programme qui a obtenu l'entier soutien du secrétaire général de l'UpM.
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Autre satisfaction pour Philippe de Fontaine Vive, l'UpM a confié à la Femip la recherche de fonds auprès des états européens pour construire une usine de désallement de l'eau à Gaza. "Ce n'est pas un projet qui peut être financé par un prêt. Nous allons solliciter les contributions des donateurs pour qu'ils nous les confient et que nous les affections à ce projet. " précise le vice président de la BEI.
Ce premier projet de l'UpM adopté fin juin 2011 par ses membres vise à résoudre la pénurie de l'eau à Gaza en installant une usine de désallement d'eau de mer capable de produire 100 millions de mètres cubes d'eau potable par an. Elle nécessiterait selon le secrétariat général de lUpM un investissement de 310 M€.
Selon les autorités palestiniennes de gestion de l'eau qui poussent le dossier depuis 2003, cette usine représente la meilleure solution pour résoudre la pénurie de l'eau dans la bande de Gaza et donc pour contribuer à la stabilité politique.