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CROATIE. L’économie croate ne se relève pas. Pour la sixième année consécutive, Zagreb affiche une baisse de son PIB : -0,7% en 2014. Le ministre des Finances, Boris Lalovac, a présenté le 30 octobre 2014 au Parlement son projet de réformes budgétaires visant à réduire la pression fiscale sur les salaires les moins élevés pour encourager la consommation et à couper les dépenses publiques.
Parmi les nouveautés qui entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2015, l’exécutif envisage d’exonérer tout citoyen gagnant moins de 2 600 kunas par mois (environ 340 €) du paiement des impôts et d’appliquer une taxe de 12% sur les intérêts des dépôts bancaires. Les mesures annoncées prévoient dans l’ensemble une diminution des dépenses publiques de 71 millions d’euros, tandis que les revenus de l’Etat chuteront de près de 340 M€. À la fin de l’année, le déficit public croate représentera environ 5% du PIB national, loin du seuil de 3% imposé par le traité de Maastricht.
Parmi les nouveautés qui entreront en vigueur à compter du 1er janvier 2015, l’exécutif envisage d’exonérer tout citoyen gagnant moins de 2 600 kunas par mois (environ 340 €) du paiement des impôts et d’appliquer une taxe de 12% sur les intérêts des dépôts bancaires. Les mesures annoncées prévoient dans l’ensemble une diminution des dépenses publiques de 71 millions d’euros, tandis que les revenus de l’Etat chuteront de près de 340 M€. À la fin de l’année, le déficit public croate représentera environ 5% du PIB national, loin du seuil de 3% imposé par le traité de Maastricht.