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TUNISIE / U.E.. Venu présenter, mardi 24 avril 2018 à Bruxelles, sa "Feuille de route des réformes prioritaires ", Youssef Chahed a reçu un blanc-seing de Jean-Claude Juncker. "Je salue la Feuille de route qui traduit l'engagement à poursuivre les réformes socioéconomiques indispensables. Je ne peux qu'applaudir au succès tunisien de ces dernières années. Voir ce pays, cette grande nation, sur quelques années faire des progrès qui furent ceux de la Tunisie m'impressionne au plus haut degré. La Tunisie pour l'Union européenne, pour la Commission, est un partenaire privilégié. Et nous allons continuer à faire preuve de solidarité avec la Tunisie, son peuple courageux, qui est un peuple entrepreneur, qui fait bien les choses" , commente le président de la Commission européenne.
Le premier ministre tunisien entend mener de nombreuses réformes structurelles (législatives, stratégiques et opérationnelles) et lutter contre la corruption. Youssef Chahed souhaite avec ces mesures "assainir les finances publiques, stimuler la croissance et favoriser ainsi la transformation économique par la mise en place d'un nouveau modèle de développement, plus inclusif et plus juste." Et pour cela, il compte sur le soutien de l'Union européenne. A celle qu'il qualifie de "partenaire stratégique", il demande "un plus grand accompagnement dans la mise en oeuvre des réformes prioritaires telles que présentées dans la feuille de route."
Pour cette première visite officielle à Bruxelles, Youssef Chahed s'est exprimé devant les députés européens et a également rencontré Federica Mogherini, haute représentante de l'UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité.
La Tunisie mène actuellement des négociations avec l'Union européenne sur les conditions du commerce entre les deux parties, préludes à un accord de Libre-échange complet et approfondi (ALECA) sur les services et l'agriculture.
Le soutien de l'Union européenne (avec les États membres et les institutions financières européennes) à la Tunisie a atteint quelque 10 mrds€ depuis la révolution en 2011.
Le premier ministre tunisien entend mener de nombreuses réformes structurelles (législatives, stratégiques et opérationnelles) et lutter contre la corruption. Youssef Chahed souhaite avec ces mesures "assainir les finances publiques, stimuler la croissance et favoriser ainsi la transformation économique par la mise en place d'un nouveau modèle de développement, plus inclusif et plus juste." Et pour cela, il compte sur le soutien de l'Union européenne. A celle qu'il qualifie de "partenaire stratégique", il demande "un plus grand accompagnement dans la mise en oeuvre des réformes prioritaires telles que présentées dans la feuille de route."
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