
La Commission européenne a adressé ses recommandations aux vingt-sept pays de l'Union européenne (photo UE)
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EUROPE. La Commission européenne a publié, mercredi 30 mai 2012, ses recommandations pour renforcer la stabilité financière, dynamiser la croissance et favoriser la création d’emplois au sein de l’Union européenne.
Elle demande ainsi « que les États membres de la zone euro soient d'accord pour se lancer dans un processus d'intégration économique et financière plus poussé », notamment en autorisant le Mécanisme européen de stabilité à contribuer directement à la recapitalisation des banques.
Le document s’accompagne également de recommandations par pays, en particulier pour les pays méditerranéens, hors Grèce et Portugal qui sont déjà dotés d’une feuille de route.
La Commission européenne demande à la France et à l’Espagne de libéraliser les professions et secteurs encore réglementés, d’améliorer leurs programmes de formation continue et de diminuer la pression fiscale pesant sur le travail en la déplaçant sur la consommation.
À l’Espagne, elle demande de plus une accélération du rythme des réformes, par exemple en repoussant l’âge du départ à la retraite. À l'Italie, elle demande de favoriser l’accès des femmes au marché du travail et de lutter plus efficacement contre l'évasion fiscale et le travail dissimulé.
Lire aussi : L'Union européenne ouvre la voie à "un agenda pour la croissance"
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Elle demande ainsi « que les États membres de la zone euro soient d'accord pour se lancer dans un processus d'intégration économique et financière plus poussé », notamment en autorisant le Mécanisme européen de stabilité à contribuer directement à la recapitalisation des banques.
Le document s’accompagne également de recommandations par pays, en particulier pour les pays méditerranéens, hors Grèce et Portugal qui sont déjà dotés d’une feuille de route.
La Commission européenne demande à la France et à l’Espagne de libéraliser les professions et secteurs encore réglementés, d’améliorer leurs programmes de formation continue et de diminuer la pression fiscale pesant sur le travail en la déplaçant sur la consommation.
À l’Espagne, elle demande de plus une accélération du rythme des réformes, par exemple en repoussant l’âge du départ à la retraite. À l'Italie, elle demande de favoriser l’accès des femmes au marché du travail et de lutter plus efficacement contre l'évasion fiscale et le travail dissimulé.
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