Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
La Tunisie s'apprête à conclure un accord avec le FMI
MAROC. La compagnie française d'assurances pour le commerce extérieur (Coface ) maintient le 3 octobre 2011 la note du Maroc en A4 signifiant que le pays disposerait de la capacité à faire face à ses engagements extérieurs.
La note, reste inchangée par rapport au précédent trimestre et devrait rassurée quelques peu les investisseurs. Néanmoins, la Coface relève la dépendance de l'économie du pays par rapport à l'agriculture et à l'Union Européenne.
Sinon, la destination reste selon l'assureur français assez stable, autrement dit à faible risque pour les investisseurs notamment dans le cadre de partenariats publics-privés pour des infrastructures routières, ferroviaires, portuaires ou touristiques.
Le pays disposerait en outre "d'une capacité de résistance satisfaisante à un retrait brutal de capitaux”.
Pour ce qui est de la Tunisie et de l'Egypte, le groupe annonce que les risques encourus par les investisseurs de ces dits pays s'accroissent, dans plusieurs secteurs économiques.
La Coface a attribué un B- à l’Égypte, “en raison des répercussions défavorables d’une transition politique relativement incertaine, notamment sur la croissance économique, les finances publiques et les comptes extérieurs”. La Tunisie, pour les mêmes motifs politiques, obtient la note de A4-. Les deux notes restent néanmoins inchangées au semestre précédent.
Voir le rapport complet : Panorama des risques
La note, reste inchangée par rapport au précédent trimestre et devrait rassurée quelques peu les investisseurs. Néanmoins, la Coface relève la dépendance de l'économie du pays par rapport à l'agriculture et à l'Union Européenne.
Sinon, la destination reste selon l'assureur français assez stable, autrement dit à faible risque pour les investisseurs notamment dans le cadre de partenariats publics-privés pour des infrastructures routières, ferroviaires, portuaires ou touristiques.
Le pays disposerait en outre "d'une capacité de résistance satisfaisante à un retrait brutal de capitaux”.
Pour ce qui est de la Tunisie et de l'Egypte, le groupe annonce que les risques encourus par les investisseurs de ces dits pays s'accroissent, dans plusieurs secteurs économiques.
La Coface a attribué un B- à l’Égypte, “en raison des répercussions défavorables d’une transition politique relativement incertaine, notamment sur la croissance économique, les finances publiques et les comptes extérieurs”. La Tunisie, pour les mêmes motifs politiques, obtient la note de A4-. Les deux notes restent néanmoins inchangées au semestre précédent.
Voir le rapport complet : Panorama des risques