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ALGÉRIE / UE. Les actionnaires de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) ont approuvé mardi 14 juillet 2020, la demande de l'Algérie de devenir membre de leur institution financière. Elle avait été effectuée en mars 2020, pour permettre au pays de devenir bénéficiaire des financements et des services de conseil de la Berd.
Cette décision des actionnaires ne constitue cependant qu'une première étape. Le conseil des gouverneurs de la banque attendent désormais que le gouvernement algérien "satisfasse à certaines exigences préalables à l'adhésion avant la conclusion du processus d'adhésion", comme le précise un communiqué de la Berd.
"Notre objectif sera de libérer le potentiel de l'Algérie, en particulier dans le secteur privé, pour créer des emplois et soutenir le développement durable. Tout comme notre aide aux pays voisins de l'Algérie (NDLR : la banque intervient déjà en Tunisie et au Maroc), la Berd peut mobiliser d'importantes ressources financières ainsi que des compétences techniques et des services de conseil", souligne son président par intérim, Jürgen Rigterink. Il se "réjouit de "commencer à travailler dans ce pays dès qu'une décision finale de (ses) actionnaires aura été prise."
La Berd devrait particulièrement se concentrer sur le soutien à la compétitivité du secteur privé, la promotion d'un approvisionnement durable en énergie et l'amélioration de la qualité et de l'efficacité des services publics dans le pays.
Cette décision des actionnaires ne constitue cependant qu'une première étape. Le conseil des gouverneurs de la banque attendent désormais que le gouvernement algérien "satisfasse à certaines exigences préalables à l'adhésion avant la conclusion du processus d'adhésion", comme le précise un communiqué de la Berd.
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La Berd devrait particulièrement se concentrer sur le soutien à la compétitivité du secteur privé, la promotion d'un approvisionnement durable en énergie et l'amélioration de la qualité et de l'efficacité des services publics dans le pays.