
En septembre 2012, la BERD annonçait le lancement de ses premiers investissements en Égypte, Maroc, Tunisie et Jordanie (photo BERD)
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MÉDITERRANÉE. Alors qu'elle vient d'annoncer un nouveau projet de soutien des femmes entrepreneures et de l'efficacité énergétique en Égypte (d'environ 40 M€), la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) fait le point sur ses actions dans la région sud et est de la Méditerranée (la SEMED, "South and eastern Mediterranean"). Depuis le début de ses opérations, elle y a investi 1,5 mrd€.
La Berd "aide les entreprises à prospérer et encourage l'innovation, la croissance et la transparence", autour de projets d'investissements financiers. "Nous proposons en outre des services de conseil aux entreprises et encourageons le financement des échanges et les syndications de prêts", souligne-t-elle sur son site officiel. L'institution est désormais présente dans trente pays donc l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, Chypre, la Croatie, l'Égypte, l'Ancienne République yougoslave de Macédoine, la Jordanie, le Maroc, le Monténégro, la Serbie, la Tunisie et la Turquie.
Le 18 septembre 2012, la Berd annonçait le lancement de ses premiers investissements en Égypte, Maroc, Tunisie et Jordanie. Elle se dotait en ce sens d'un fonds spécial de 1 mrd€ afin d'étendre ses opérations à ces quatre "démocraties arabes émergentes".
Depuis, la Berd a investi 1,5 mrd€ dans cinquante trois projets. Pour Hildegard Gacek, directeur général de la Berd pour la région SEMED, ce chiffre témoigne d'une volonté "de soutenir la transition des pays vers une économie de marché par des investissements ciblés et le dialogue politique avec les autorités".
Parmi les projets, la Berd cite la modernisation des chemins de fer de l'Égypte, le financement de projets d'énergie renouvelable en Jordanie ou encore le soutien du secteur touristique au Maroc.
À l'avenir, la Berd entend se concentrer sur"le renforcement du secteur financier des pays, la promotion des liens commerciaux avec l'étranger et l'aide au financement des petites et moyennes entreprises" tout en mettant l'accent sur les énergies durables.
La Berd "aide les entreprises à prospérer et encourage l'innovation, la croissance et la transparence", autour de projets d'investissements financiers. "Nous proposons en outre des services de conseil aux entreprises et encourageons le financement des échanges et les syndications de prêts", souligne-t-elle sur son site officiel. L'institution est désormais présente dans trente pays donc l'Albanie, la Bosnie-Herzégovine, Chypre, la Croatie, l'Égypte, l'Ancienne République yougoslave de Macédoine, la Jordanie, le Maroc, le Monténégro, la Serbie, la Tunisie et la Turquie.
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Depuis, la Berd a investi 1,5 mrd€ dans cinquante trois projets. Pour Hildegard Gacek, directeur général de la Berd pour la région SEMED, ce chiffre témoigne d'une volonté "de soutenir la transition des pays vers une économie de marché par des investissements ciblés et le dialogue politique avec les autorités".
Parmi les projets, la Berd cite la modernisation des chemins de fer de l'Égypte, le financement de projets d'énergie renouvelable en Jordanie ou encore le soutien du secteur touristique au Maroc.
À l'avenir, la Berd entend se concentrer sur"le renforcement du secteur financier des pays, la promotion des liens commerciaux avec l'étranger et l'aide au financement des petites et moyennes entreprises" tout en mettant l'accent sur les énergies durables.