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Carles Puigdemont a demandé la libération de ses autres ministres (photo : TV catalane)
ESPAGNE / BELGIQUE. Suite au mandat d'arrêt européen délivré par l'Espagne, l'ancien président destitué de la Catalogne, Carles Puigdemont, s'est rendu à la police belge, dimanche 5 novembre 2017 à Bruxelles où il réside en exil. Entendu avec quatre de ses ministres par un juge d'instruction, tous ont finalement été laissé en liberté. Mais sous conditions. Il leur est interdit de quitter la Belgique, ils doivent se présenter "personnellement" à toute convocation de la justice ou de la police du pays, et résider à une adresse fixe.
La Chambre du conseil doit désormais se prononcer sur l'exécution du mandat d'arrêt dans les quinze prochains jours. Et donc, in fine, autoriser ou non l'extradition des cinq hommes en Espagne où ils risquent jusqu'à trente ans de prison pour "rébellion", "sédition", "détournement de fonds publics" et "désobéissance à l'autorité". Elle se réunira le 17 novembre 2017 à 14h pour étudier la question.
Jeudi 2 novembre 2017 au soir, huit autres anciens ministres ont été incarcérés à Madrid.
La Chambre du conseil doit désormais se prononcer sur l'exécution du mandat d'arrêt dans les quinze prochains jours. Et donc, in fine, autoriser ou non l'extradition des cinq hommes en Espagne où ils risquent jusqu'à trente ans de prison pour "rébellion", "sédition", "détournement de fonds publics" et "désobéissance à l'autorité". Elle se réunira le 17 novembre 2017 à 14h pour étudier la question.
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