
Distrimag, prestataire logistique et transport, situé à Saint-Martin-de-Crau en France (photo NBC)
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Le Liban et la Tunisie enregistrent les plus fortes capacités productives des pays méditerranéens en développement
MÉDITERRANÉE. La Banque mondiale dévoile les résultats de son rapport sur l'indice de performance logistique. La Méditerranée reste encore à la marge et joue de contrastes entre la France treizième et la Syrie, en bas du classement, à la 155e place.
L'indice mesure les perceptions relatives à la logistique de 160 pays. De 1 (faible) à 5 (élevé), le classement prend en compte certains éléments comme le rendement des services douaniers, les coûts de logistique, la qualité des infrastructures commerciales, des transports et des services associés et la rapidité des livraisons notamment des cargaisons. La Banque mondiale a pris le pouls, pour cette enquête, de plus de mille "professionnels de la logistique".
Constat général pour l'année 2013 : de fortes "disparités" persistent, en raison de la "complexité des réformes liées à la logistique et du manque d’investissement dans les pays en développement".
L'Allemagne, première du classement (note de 4,12), supplante largement les pays méditerranéens. Le premier des pays méditerranéens apparait à la treizième place. Il s'agit de la France, avec une note de 3,85. Vient ensuite l'Espagne à la 18e place (note de 3,72), puis l'Italie à la 20e place (note de 3,69). La Syrie affiche un résultat médiocre, dernière du classement s'agissant du pourtour, à la 155e place (note de 2,09). Macédoine et Libye restent à la traîne respectivement à la 117e et la 118e place (notes de 2,5). S'agissant du Maghreb, l'Algérie (96e, avec une note de 2,65) supplante la Tunisie (110e avec une note de 2,55). Le Maroc n'apparaît pas dans le classement.
La Banque mondiale consacrait 5,8 mrds$ (soit 4.23 mrds€) en 2013, afin de faciliter les échanges, "reconnaissant ainsi que les obstacles logistiques entravent la participation des pays en développement au système commercial international", souligne-t-elle.
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L'indice mesure les perceptions relatives à la logistique de 160 pays. De 1 (faible) à 5 (élevé), le classement prend en compte certains éléments comme le rendement des services douaniers, les coûts de logistique, la qualité des infrastructures commerciales, des transports et des services associés et la rapidité des livraisons notamment des cargaisons. La Banque mondiale a pris le pouls, pour cette enquête, de plus de mille "professionnels de la logistique".
Constat général pour l'année 2013 : de fortes "disparités" persistent, en raison de la "complexité des réformes liées à la logistique et du manque d’investissement dans les pays en développement".
L'Allemagne, première du classement (note de 4,12), supplante largement les pays méditerranéens. Le premier des pays méditerranéens apparait à la treizième place. Il s'agit de la France, avec une note de 3,85. Vient ensuite l'Espagne à la 18e place (note de 3,72), puis l'Italie à la 20e place (note de 3,69). La Syrie affiche un résultat médiocre, dernière du classement s'agissant du pourtour, à la 155e place (note de 2,09). Macédoine et Libye restent à la traîne respectivement à la 117e et la 118e place (notes de 2,5). S'agissant du Maghreb, l'Algérie (96e, avec une note de 2,65) supplante la Tunisie (110e avec une note de 2,55). Le Maroc n'apparaît pas dans le classement.
La Banque mondiale consacrait 5,8 mrds$ (soit 4.23 mrds€) en 2013, afin de faciliter les échanges, "reconnaissant ainsi que les obstacles logistiques entravent la participation des pays en développement au système commercial international", souligne-t-elle.
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