
La Banque mondiale veut fertiliser la création d'emplois en Tunisie (photo F.Dubessy)
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TUNISIE. « Le programme du gouvernement tunisien pourra exiger jusqu’à 950 M$ (713 M€) de prêts, pour l’appui de politiques et prêts d’investissement sur l’exercice 2013 » précise une note de stratégie intérimaire (ISN) pour la Tunisie préparée par le Groupe de la Banque mondiale. Note qui présente un programme d’appui au pays de la révolution du jasmin, centré sur « une contribution directe et indirecte à la création d’emplois à court et moyen termes. »
Joignant la parole à l’acte, la Banque mondiale a annoncé, mercredi 23 janvier 2013, à l’occasion de la visite officielle de deux jours qu’effectue à Tunis son président Jim Yong Kim, l’octroi d’un prêt de 500 M$ (375 M€) à la Tunisie.
Les entretiens de Jim Yong Kim avec le président de la République tunisienne ainsi qu’avec le chef du gouvernement ont porté notamment sur les possibilités d’améliorer l’appui du groupe de la Banque mondiale à la transition actuelle de la société tunisienne, de promouvoir la croissance solidaire et de créer davantage d’emplois et d’opportunités pour les Tunisiens.
Sur le financement de l’exercice de 2014, il sera « défini par la Banque mondiale en fonction des résultats du programme de l’exercice 2013, des demandes du gouvernement, des fonds propres de la Bird (Banque internationale de reconstruction et développement) et de la demande des autres emprunteurs » précise l'institution.
Joignant la parole à l’acte, la Banque mondiale a annoncé, mercredi 23 janvier 2013, à l’occasion de la visite officielle de deux jours qu’effectue à Tunis son président Jim Yong Kim, l’octroi d’un prêt de 500 M$ (375 M€) à la Tunisie.
Les entretiens de Jim Yong Kim avec le président de la République tunisienne ainsi qu’avec le chef du gouvernement ont porté notamment sur les possibilités d’améliorer l’appui du groupe de la Banque mondiale à la transition actuelle de la société tunisienne, de promouvoir la croissance solidaire et de créer davantage d’emplois et d’opportunités pour les Tunisiens.
Sur le financement de l’exercice de 2014, il sera « défini par la Banque mondiale en fonction des résultats du programme de l’exercice 2013, des demandes du gouvernement, des fonds propres de la Bird (Banque internationale de reconstruction et développement) et de la demande des autres emprunteurs » précise l'institution.