
Robert Zoellick lors de l'Assemblée plénière annuelle. (crédit Ryan Rayburn/ World Bank)
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MONDE / MENA. La Banque Mondiale et l'Islamic Development Bank (IDB) vont lancer conjointement un fonds d'1md$ (720,9M€) , destiné à réduire l'écart de la région Mena (Moyen-Orient Afrique du Nord) en terme d'infrastructures. Avec un double objectif: améliorer la compétitivité et créer de l'emploi dans les pays de ces régions.
Le patron de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a expliqué, dans son discours consacré au développement de la région Mena, le 10 octobre 2010, que "cette initiative régionale permettra d'ouvrir de nouveaux flux d'investissements dans le secteur privé, notamment dans des pays comme l'Egypte, le Maroc, la Jordanie ou la Tunisie, en améliorant l'infrastructure existante".
Selon la Banque mondiale, les pays de la région Mena ont besoin d'investir entre 75mds$ (54,07mds€) et 100mds$ (72,046mds€) annuellement s'ils veulent maintenir leurs taux de croissance des ces dernières années et accroître leur compétitivité.
Le président de l'IDB, Ahmad Mohamed Ali, a également avancé que ce fonds dispose d'un autre avantage, celui de permettre des investissements en conformité avec les principes de la Charia.
Le patron de la Banque mondiale, Robert Zoellick, a expliqué, dans son discours consacré au développement de la région Mena, le 10 octobre 2010, que "cette initiative régionale permettra d'ouvrir de nouveaux flux d'investissements dans le secteur privé, notamment dans des pays comme l'Egypte, le Maroc, la Jordanie ou la Tunisie, en améliorant l'infrastructure existante".
Selon la Banque mondiale, les pays de la région Mena ont besoin d'investir entre 75mds$ (54,07mds€) et 100mds$ (72,046mds€) annuellement s'ils veulent maintenir leurs taux de croissance des ces dernières années et accroître leur compétitivité.
Le président de l'IDB, Ahmad Mohamed Ali, a également avancé que ce fonds dispose d'un autre avantage, celui de permettre des investissements en conformité avec les principes de la Charia.