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TUNISIE. La Banque Mondiale vient d’accorder, vendredi 2 octobre 2015, un troisième plan d’aide de 500 M€ à la Tunisie. Cette opération vise à soutenir les réformes actuelles et à lutter contre les répercussions économiques des derniers attentats.
« Nous avons accéléré notre programme d’aide à la Tunisie pour affronter les répercussions économiques des attentats au musée du Bardo et à Sousse et, parallèlement, mener à bien la tâche importante de sauvegarde des résultats de la transition politique », déclare Marie Françoise Marie-Nelly, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Maghreb.
Ces trois plans d’aides mis en place en 2011 par la Banque Mondiale doivent accompagner le pays dans sa transition économique de l'après printemps arabe. Ils doivent financer la mise en place de réformes destinées restructurer le secteur financier, à doper l’emploi, à accroître la transparence des politiques et à améliorer la gestion des finances publiques.
Cette transition politique passe par des mesures de restructuration des banques d’Etat et l’allégement des procédures administratives, mais aussi par des réformes visant à généraliser l’accès au haut débit, à des services internet plus efficaces et moins coûteux estime la Banque Mondiale.
La Banque Mondiale réfléchit à sa nouvelle stratégie d’aide à la Tunisie sur les cinq prochaines années. Elle devrait concentrer ses actions sur le soutien à la décentralisation, à des programmes innovants dans l’enseignement supérieur pour améliorer la situation de l’emploi. Les volets écologiques et sociaux, avec l’assainissement, le traitement des eaux usagées et le développement des communautés figurent également comme des éléments centraux de ce futur plan d’aide.
« Nous avons accéléré notre programme d’aide à la Tunisie pour affronter les répercussions économiques des attentats au musée du Bardo et à Sousse et, parallèlement, mener à bien la tâche importante de sauvegarde des résultats de la transition politique », déclare Marie Françoise Marie-Nelly, directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Maghreb.
Ces trois plans d’aides mis en place en 2011 par la Banque Mondiale doivent accompagner le pays dans sa transition économique de l'après printemps arabe. Ils doivent financer la mise en place de réformes destinées restructurer le secteur financier, à doper l’emploi, à accroître la transparence des politiques et à améliorer la gestion des finances publiques.
Cette transition politique passe par des mesures de restructuration des banques d’Etat et l’allégement des procédures administratives, mais aussi par des réformes visant à généraliser l’accès au haut débit, à des services internet plus efficaces et moins coûteux estime la Banque Mondiale.
La Banque Mondiale réfléchit à sa nouvelle stratégie d’aide à la Tunisie sur les cinq prochaines années. Elle devrait concentrer ses actions sur le soutien à la décentralisation, à des programmes innovants dans l’enseignement supérieur pour améliorer la situation de l’emploi. Les volets écologiques et sociaux, avec l’assainissement, le traitement des eaux usagées et le développement des communautés figurent également comme des éléments centraux de ce futur plan d’aide.