
Le Port de Nador va constituer une alternative pour les conteneurs et permettre de développer la région de l'Orientale (photo BERD)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
L'Algérie demande des négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario
MAROC. La Banque européenne de reconstruction et de développement (Berd) a consenti, jeudi 30 octobre 2015, un prêt à la société publique Nador West Med (NWM), gestionnaire du nouveau port de Nador au Maroc.
Cet investissement de 200 M€ va permettre au port marocain, situé sur la côté méditerranéenne à trente kilomètres de la ville de Nador, de financer ses premières infrastructures et notamment un brise-lames, avec une digue principale de 4 200 mètres et une contre digue de 1 200 mètres, et des quais.
Le projet du port de Nador devrait être cofinancé avec la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds arabe pour le développement économique et social. Il s'agirait du premier cofinancement de la Berd avec ces deux institutions.
"Ce port fait partie d'une approche de développement plus large qui fournira une plate-forme pour le secteur privé a conduit l'expansion du marché et contribuer à attirer les investissements étrangers. En outre, le développement et le fonctionnement des bornes donnera un nouvel élan à la croissance économique régionale" indique Hildegard Gacek, directeur de la Berd pour la Méditerranée du Sud et de l'Est.
Conçu par le gouvernement marocain, le nouveau port de Nador comprendra un port en eau profonde pour accueillir le transbordement des conteneurs et le trafic des hydrocarbures (notamment le charbon pour la future centrale thermique programmée dans la région). Il disposera d'un terminal charbonnier (quai de 360 mètres pour une profondeur de 20 mètres), un terminal hydrocarbure (trois postes pétroliers de 20 mètres de profondeur) et un terminal divers.
Mais aussi d'une plate-forme industrielle intégrée développée sur une zone franche. Il assurera un développement de la région de l'Orientale tout en renforçant le rôle maritime et portuaire du Maroc.
Ce port méditerranéen disposera d'une capacité annuelle d'accueil de trois millions de conteneurs (EVP - Equivalent vingts pieds), vingt-cinq millions de tonnes d'hydrocarbures, sept millions de tonnes de charbon et trois millions de marchandises diverses.
A ce jour, la Berd a investi 640 M€ au Maroc dans vingt-deux projets.
Lire aussi :3,3 mrds€ de marchés publics dans les transports en 2015 au Maroc
Cet investissement de 200 M€ va permettre au port marocain, situé sur la côté méditerranéenne à trente kilomètres de la ville de Nador, de financer ses premières infrastructures et notamment un brise-lames, avec une digue principale de 4 200 mètres et une contre digue de 1 200 mètres, et des quais.
Le projet du port de Nador devrait être cofinancé avec la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds arabe pour le développement économique et social. Il s'agirait du premier cofinancement de la Berd avec ces deux institutions.
"Ce port fait partie d'une approche de développement plus large qui fournira une plate-forme pour le secteur privé a conduit l'expansion du marché et contribuer à attirer les investissements étrangers. En outre, le développement et le fonctionnement des bornes donnera un nouvel élan à la croissance économique régionale" indique Hildegard Gacek, directeur de la Berd pour la Méditerranée du Sud et de l'Est.
Conçu par le gouvernement marocain, le nouveau port de Nador comprendra un port en eau profonde pour accueillir le transbordement des conteneurs et le trafic des hydrocarbures (notamment le charbon pour la future centrale thermique programmée dans la région). Il disposera d'un terminal charbonnier (quai de 360 mètres pour une profondeur de 20 mètres), un terminal hydrocarbure (trois postes pétroliers de 20 mètres de profondeur) et un terminal divers.
Mais aussi d'une plate-forme industrielle intégrée développée sur une zone franche. Il assurera un développement de la région de l'Orientale tout en renforçant le rôle maritime et portuaire du Maroc.
Ce port méditerranéen disposera d'une capacité annuelle d'accueil de trois millions de conteneurs (EVP - Equivalent vingts pieds), vingt-cinq millions de tonnes d'hydrocarbures, sept millions de tonnes de charbon et trois millions de marchandises diverses.
A ce jour, la Berd a investi 640 M€ au Maroc dans vingt-deux projets.
Lire aussi :3,3 mrds€ de marchés publics dans les transports en 2015 au Maroc