
Philippe Maystadt, président de la BEI, a renforcé ses aides en 2009 (photo BEI)
EUROPE. En 2009, la Banque Européenne d'Investissement (BEI) a consacré une enveloppe de 79 mds€ à des prêts. Soit une hausse de 37% par rapport à l'année 2008 (58 mds€).
Sur ces 70 mds€, quelques 9 mds€ ont été apporté comme soutien financier à des pays non membres de l'Union Européenne.
L'institution créée en 1958 par le Traité de Rome s'est donnée trois priorités : le renforcement de son soutien d'abord aux régions européennes plus faibles sur le plan économique - dîtes régions de convergence - (29 mds€ dont 13 mds€ aux nouveaux états membres), ensuite aux PME (13 mds € de lignes de crédits accordés aux banques intermédiaires pour les reverser sous forme de prêts à 50 000 PME en Europe), et enfin au secteur de l'énergie dans le contexte de la lutte contre les changements climatiques (17 mds€).
« La BEI s’est imposée comme une solide source de financement et de stabilité dans la conjoncture économique exceptionnellement difficile que nous avons connue l’année dernière. La Banque s’était engagée à réaliser d’ambitieux objectifs en 2009 ; elle les a non seulement atteints, mais dépassés. En intervenant davantage, mieux et plus rapidement, nous avons clairement démontré notre capacité à épauler de manière forte l’économie européenne » précise dans un communiqué publié le 25 février 2010, Philippe Maystadt, président de la BEI.
Sur ces 70 mds€, quelques 9 mds€ ont été apporté comme soutien financier à des pays non membres de l'Union Européenne.
L'institution créée en 1958 par le Traité de Rome s'est donnée trois priorités : le renforcement de son soutien d'abord aux régions européennes plus faibles sur le plan économique - dîtes régions de convergence - (29 mds€ dont 13 mds€ aux nouveaux états membres), ensuite aux PME (13 mds € de lignes de crédits accordés aux banques intermédiaires pour les reverser sous forme de prêts à 50 000 PME en Europe), et enfin au secteur de l'énergie dans le contexte de la lutte contre les changements climatiques (17 mds€).
« La BEI s’est imposée comme une solide source de financement et de stabilité dans la conjoncture économique exceptionnellement difficile que nous avons connue l’année dernière. La Banque s’était engagée à réaliser d’ambitieux objectifs en 2009 ; elle les a non seulement atteints, mais dépassés. En intervenant davantage, mieux et plus rapidement, nous avons clairement démontré notre capacité à épauler de manière forte l’économie européenne » précise dans un communiqué publié le 25 février 2010, Philippe Maystadt, président de la BEI.