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MAROC. La Banque africaine de développement (BAD) a publié, lundi 23 mars 2015, une étude de la croissance économique marocaine, intitulée Diagnostic de croissance du Maroc – Analyse des contraintes à une croissance large et inclusive, en collaboration avec le Maroc et le Millenium Challenge Corporation (MCC) américain.
L’étude soulève un paradoxe : le taux d’investissement public du Maroc, 31,7% du PIB en 2012, demeure l’un des plus importants au monde, pourtant la croissance ne se trouve pas à la hauteur et l’économie ne connaît pas de transformation structurelle.
La BAD pointe du doigt deux raisons principales : d’une part le manque de formation de sa population et d’autre part les contraintes multiples liées à son administration. Le Maroc « conjugue un système judiciaire lent, un système fiscal perçu comme peu lisible et relativement lourd, un foncier difficile d’accès et une réglementation du marché du travail contraignante », indique la BAD dans son communiqué.
L’étude soulève un paradoxe : le taux d’investissement public du Maroc, 31,7% du PIB en 2012, demeure l’un des plus importants au monde, pourtant la croissance ne se trouve pas à la hauteur et l’économie ne connaît pas de transformation structurelle.
La BAD pointe du doigt deux raisons principales : d’une part le manque de formation de sa population et d’autre part les contraintes multiples liées à son administration. Le Maroc « conjugue un système judiciaire lent, un système fiscal perçu comme peu lisible et relativement lourd, un foncier difficile d’accès et une réglementation du marché du travail contraignante », indique la BAD dans son communiqué.