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Le dessalement de l'eau de mer, réponse au problème de la rareté de l'eau (photo CMWU)
TERRITOIRES PALESTINIENS. Lancée dans la recherche de financements pour son projet d'installation de dessalement de l'eau de mer, l'Autorité palestinienne de l'eau (Palestinian water authority - PWA) a émis un appel aux dons à l'occasion du Forum mondial de l'eau qui se déroule à Marseille du 12 au 17 mars 2012.
D'un coût de 350 M€, cette usine d'une capacité de 100 millions de m3 destinée à fournir de l'eau potable à 1,6 million d'habitants de Gaza d'ici à 2020, en agissant sur la nappe phréatique trop salée, sera couplée à une refonte du système d'adduction et de distribution de l'eau potable.
Le plan prévoit en fait la construction de deux usines régionales. La première, et la plus importante, s'installerait au centre de la bande de Gaza, et la seconde d'une capacité deux fois moindre dans le sud de la bande de Gaza.
L'appel a été entendu par Israël dont le ministre de l'Energie et de l'eau a affirmé qu'il soutiendrait ce projet.ainsi que par la Banque européenne d'investissement (BEI) qui va apporter son expertise technique sur la définition technique du projet et de son cadre de fonctionnement. La BEI gérera aussi les dons accordés par la communauté internationale.
De son côté, François Fillon, premier ministre français, a promis une contribution de 10 M€ de la France
Un rapport de la Banque mondiale de 2009 évalue qu'entre 90 et 95% de l'eau disponible à Gaza est impropre à la consommation.
Lire aussi : "La mauvaise qualité de l'eau menace la population palestinienne"
D'un coût de 350 M€, cette usine d'une capacité de 100 millions de m3 destinée à fournir de l'eau potable à 1,6 million d'habitants de Gaza d'ici à 2020, en agissant sur la nappe phréatique trop salée, sera couplée à une refonte du système d'adduction et de distribution de l'eau potable.
Le plan prévoit en fait la construction de deux usines régionales. La première, et la plus importante, s'installerait au centre de la bande de Gaza, et la seconde d'une capacité deux fois moindre dans le sud de la bande de Gaza.
L'appel a été entendu par Israël dont le ministre de l'Energie et de l'eau a affirmé qu'il soutiendrait ce projet.ainsi que par la Banque européenne d'investissement (BEI) qui va apporter son expertise technique sur la définition technique du projet et de son cadre de fonctionnement. La BEI gérera aussi les dons accordés par la communauté internationale.
De son côté, François Fillon, premier ministre français, a promis une contribution de 10 M€ de la France
Un rapport de la Banque mondiale de 2009 évalue qu'entre 90 et 95% de l'eau disponible à Gaza est impropre à la consommation.
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