
La Logan, que produira l'usine Renault-Nissan, est déjà fabriquée au Maroc par la Somaca, détenue majoritairement par Renault (photo Renault)
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MAROC. En raison des intempéries qui ont frappé le nord du Maroc fin octobre, puis de nouveau ces derniers jours, début 2009, les travaux de terrassement de l’usine Renault-Nissan à Tanger ont pris du retard.
De nouveaux aléas qui, associés aux difficultés économiques mondiales, particulièrement rudes pour les constructeurs automobiles, conduisent à un retard de l’entrée en service de l’usine "de quelques mois (…), afin de sortir les véhicules au meilleur moment", confirme Zineb El Jazouli, responsable de la communication de Renault au Maroc.
"Il y a eu beaucoup de spéculations dans la presse (…) En raison de la crise, Nissan a décidé de revoir et d’optimiser son programme d’investissements à travers le monde. Mais dans sa globalité, le projet n’est absolument pas remis en cause", affirme la responsable de communication.
Dans son édition du 23 janvier, le quotidien espagnol El Pais annonçait le retrait de Nissan du projet à Tanger.
Une information non confirmée par la direction de Nissan, qui s’est bornée à indiquer par la voie de son porte-parole, Pauline Kee, que le groupe japonais étudiait des délais et des reports de certains de ses projets, y compris au Maroc.
De nouveaux aléas qui, associés aux difficultés économiques mondiales, particulièrement rudes pour les constructeurs automobiles, conduisent à un retard de l’entrée en service de l’usine "de quelques mois (…), afin de sortir les véhicules au meilleur moment", confirme Zineb El Jazouli, responsable de la communication de Renault au Maroc.
"Il y a eu beaucoup de spéculations dans la presse (…) En raison de la crise, Nissan a décidé de revoir et d’optimiser son programme d’investissements à travers le monde. Mais dans sa globalité, le projet n’est absolument pas remis en cause", affirme la responsable de communication.
Dans son édition du 23 janvier, le quotidien espagnol El Pais annonçait le retrait de Nissan du projet à Tanger.
Une information non confirmée par la direction de Nissan, qui s’est bornée à indiquer par la voie de son porte-parole, Pauline Kee, que le groupe japonais étudiait des délais et des reports de certains de ses projets, y compris au Maroc.
Baisse des ventes mondiales de 1,1% en 2008 pour l’alliance
L’usine, d’une capacité de production initialement prévue de 200.000 véhicules à l’horizon 2010-2011, puis de 400.000 à terme, est estimée à près d’1 Md€ au total (600 M€ pour la première tranche).
Le complexe industriel est censé produire des dérivées de la Logan, ainsi que des véhicules utilitaires légers pour Nissan. Ces véhicules sont destinés à l’exportation à 90%. Quelques 6.000 emplois directs et 30.000 indirects sont attendus.
Dans un marché global en chute de 5%, l’alliance Renault-Nissan a annoncé le 4 février une baisse de 1,1% de ses ventes en 2008, à 6.090.304 véhicules, liée à la contre-performance du groupe Renault (-4,1%).
Tandis que les ventes s’effondrent en Europe de l’Ouest, en Amérique du Nord et au Japon, les marchés émergents, Russie, Brésil, Chine et Maroc, restent positifs.
Lire aussi : Nissan se retire du projet d'usine de Tanger
Lire aussi : Renault: coup de frein sur Tanger
Lire aussi : Maroc: gros trafic en prévision pour la future usine de Renault à Tanger
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