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JORDANIE. Le premier ministre jordanien Maarouf Bakhit leur avait promis la veille des réformes dans l'année, les manifestants lui ont donné un délai maximum d'un mois.
Selon les sources, ils étaient de 5 000 à 10 000 à défiler dans les rues d'Amman et devant le Parlement, vendredi 4 mars 2011 à l'appel notamment du Front de l'Action islamique (FAI), sous des banderoles indiquant "le pain et la liberté" et appelant à la dissolution du Parlement.
Cheikh Hamzeh Mansour, chef de ce parti islamiste, bras politique des Frères Musulmans, accuse le gouvernement jordanien de se contenter de "palabres".
L'opposition jordanienne continue de réclamer des réformes et une monarchie constitutionnelle avec un premier ministre élu et non plus désigné par le Roi.
Selon les sources, ils étaient de 5 000 à 10 000 à défiler dans les rues d'Amman et devant le Parlement, vendredi 4 mars 2011 à l'appel notamment du Front de l'Action islamique (FAI), sous des banderoles indiquant "le pain et la liberté" et appelant à la dissolution du Parlement.
Les députés viennent jeudi 3 février 2011 de voter leur confiance au nouveau premier ministre (lire : Le premier ministre jordanien obtient de justesse la confiance du Parlement).
Cheikh Hamzeh Mansour, chef de ce parti islamiste, bras politique des Frères Musulmans, accuse le gouvernement jordanien de se contenter de "palabres".
L'opposition jordanienne continue de réclamer des réformes et une monarchie constitutionnelle avec un premier ministre élu et non plus désigné par le Roi.