
Oriol Junqueras avait voté la République et l'indépendance de la Catalogne (photo : Parlement catalan)
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ESPAGNE. Fraîchement élu réélu député régional le 21 décembre 2017, mais toujours incarcéré. La Cour suprême espagnole confirme, vendredi 5 janvier 2018, le maintien en détention d'Oriol Junqueras.
Les trois magistrats de cette juridiction ont décidé à l'unanimité de ne pas libérer l'ancien vice-président indépendantiste du Parlement catalan arguant qu'il existe bien "des indices de commission des délits de rébellion, sédition et malversation de la part de M.Junqueras, incarcéré depuis deux mois." Ils complètent leur argumentation en indiquant qu'"aucune donnée ne permet de déduire que le plaignant a l'intention d'abandonner la voie qu'il a suivie jusqu'à maintenant". En clair, la justice espagnole craint que dès sa sortie de prison Oriol Junqueras continue à réclamer l'indépendance de la Catalogne et la proclamation de la République.
Les trois magistrats de cette juridiction ont décidé à l'unanimité de ne pas libérer l'ancien vice-président indépendantiste du Parlement catalan arguant qu'il existe bien "des indices de commission des délits de rébellion, sédition et malversation de la part de M.Junqueras, incarcéré depuis deux mois." Ils complètent leur argumentation en indiquant qu'"aucune donnée ne permet de déduire que le plaignant a l'intention d'abandonner la voie qu'il a suivie jusqu'à maintenant". En clair, la justice espagnole craint que dès sa sortie de prison Oriol Junqueras continue à réclamer l'indépendance de la Catalogne et la proclamation de la République.