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ÉGYPTE. Condamné à mort en mai 2015, peine confirmée un mois plus tard, l'ex-président égyptien Mohamed Morsi (65 ans) ne sera pas exécuté. La Cour de cassation annonce, mardi 15 novembre 2016, l'annulation de ce jugement pour vices juridiques et va lui permettre un nouveau procès devant une cour criminelle. Cinq coaccusés bénéficient de la même décision alors qu'une centaine d'autres ne sont pas concernés par ce renvoi. Ils voient donc leur condamnation à la peine capitale confirmée. Le pouvoir actuel tente d'éradiquer l'organisation des Frères musulmans qu'il considère comme terroriste.
Mohamed Morsi, élu à la tête de l'Etat en 2012 sur la liste des Frères musulmans après la révolution égyptienne et la destitution d'Hosni Moubarak, avait été chassé du pouvoir en juillet 2013 par un coup d'état de son successeur le maréchal Abdel Fattah al-Sissi.
Incarcéré à Alexandrie, Mohamed Morsi a été condamné à vingt ans de prison pour incitation au meurtre de manifestants. Mais aussi à deux reprises à la prison à vie : Une fois pour des accusations d'espionnage au profit du Hamas et une autre pour la livraison au Qatar de documents relevant de la sécurité nationale. Enfin, à la peine de mort, le 16 mai 2015, pour des évasions massives de prison et des attaques contre la police durant la révolution de 2011.
Mohamed Morsi, élu à la tête de l'Etat en 2012 sur la liste des Frères musulmans après la révolution égyptienne et la destitution d'Hosni Moubarak, avait été chassé du pouvoir en juillet 2013 par un coup d'état de son successeur le maréchal Abdel Fattah al-Sissi.
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