
Henry Roux-Alezais préside depuis huit ans l'Institut de la Méditerranée. (Photo N.B.C)
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FRANCE / MÉDITERRANÉE. Trouver des solutions techniques adossées au meilleur rapport qualité/prix pour que des familles à faibles revenus puissent investir dans l’efficacité énergétique de leurs logements… Cette noble idée, suggérée par l’Institut de la Méditerranée a été retenue, parmi une quarantaine de projets par le comité de sélection du programme européen MED.
Baptisé Elih-MED, ce programme couvre la période 2011-2014. Il rassemble dix-huit partenaires (agences de l’énergie ou centres de recherche d’envergure nationale, collectivités territoriales, opérateurs dans le domaine du logement social, ONG…) d’Espagne, de France, d’Italie, de Slovénie, de Grèce, de Malte et de Chypre.
« Pendant trois ans, nous allons émettre des propositions qui seront expérimentées avec des mesures de résultat. Nous ferons appel à des réseaux de banques éthiques », explique Henry Roux-Alezais.
Entre les mains du président de l’Institut de la Méditerranée, la liste des programmes européens auquel il participe : CATMED, IC MED, MED GOUV, MED LAB… La liste est encore longue d’autant que d’autres projets devraient suivre notamment dans le secteur du transport maritime en Méditerranée.
Baptisé Elih-MED, ce programme couvre la période 2011-2014. Il rassemble dix-huit partenaires (agences de l’énergie ou centres de recherche d’envergure nationale, collectivités territoriales, opérateurs dans le domaine du logement social, ONG…) d’Espagne, de France, d’Italie, de Slovénie, de Grèce, de Malte et de Chypre.
« Pendant trois ans, nous allons émettre des propositions qui seront expérimentées avec des mesures de résultat. Nous ferons appel à des réseaux de banques éthiques », explique Henry Roux-Alezais.
Entre les mains du président de l’Institut de la Méditerranée, la liste des programmes européens auquel il participe : CATMED, IC MED, MED GOUV, MED LAB… La liste est encore longue d’autant que d’autres projets devraient suivre notamment dans le secteur du transport maritime en Méditerranée.
Agence de développement territorial en cours de création

Les centres anciens constituent un terrain fertile en matière d'économies d'énergie. Photo GT
En parallèle à ces programmes européens, l’Institut travaille à la création d’une Agence de développement territorial.
« Il s'agit d’apporter de l’assistance à la maîtrise d’ouvrage dans les pays du bassin Méditerranéen confrontés à des difficultés de gouvernance en développant des meilleures pratiques.Toutes les collectivités sont concernées, de la Région à la Wilaya, l’objectif étant d’améliorer l’efficacité administrative », souligne Henry Roux-Alezais.
L’Institut de la Méditerranée compte une dizaine de membres permanents. la structure s’attache à développer à la fois une approche territoriale et macroéconomique à travers sa participation depuis 1998 au sein du Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise ) qui rassemble 80 instituts et 300 chercheurs et dont le siège se trouve à Marseille.
« Avec l’installation de la Banque Mondiale en 2002 et la création de l’OCEMO en novembre 2010, nous avons affirmé notre volonté de renforcer le rayonnement Méditerranéen et de donner à Marseille un rôle moteur dans les initiatives et la réflexion économique », poursuit Henry Roux-Alezais qui préside, au sein de l’Office de coopération économique pour la Méditerranée et l’Orient (OCEMO), un groupe chargé des relations avec les entreprises.
Lire aussi : OCEMO : Création du réseau des réseaux méditerranéens
« Il s'agit d’apporter de l’assistance à la maîtrise d’ouvrage dans les pays du bassin Méditerranéen confrontés à des difficultés de gouvernance en développant des meilleures pratiques.Toutes les collectivités sont concernées, de la Région à la Wilaya, l’objectif étant d’améliorer l’efficacité administrative », souligne Henry Roux-Alezais.
L’Institut de la Méditerranée compte une dizaine de membres permanents. la structure s’attache à développer à la fois une approche territoriale et macroéconomique à travers sa participation depuis 1998 au sein du Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise ) qui rassemble 80 instituts et 300 chercheurs et dont le siège se trouve à Marseille.
« Avec l’installation de la Banque Mondiale en 2002 et la création de l’OCEMO en novembre 2010, nous avons affirmé notre volonté de renforcer le rayonnement Méditerranéen et de donner à Marseille un rôle moteur dans les initiatives et la réflexion économique », poursuit Henry Roux-Alezais qui préside, au sein de l’Office de coopération économique pour la Méditerranée et l’Orient (OCEMO), un groupe chargé des relations avec les entreprises.
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