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SYRIE. Astana, accueille, depuis lundi 23 janvier 2017, les émissaires de Bachar el-Assad, ses opposants ainsi que des représentants de la Russie, de la Turquie et de l'Iran et pour superviser tout cela, le Suédois Staffan de Mistura, envoyé spécial de l'Onu en Syrie.
Seuls les Kurdes syriens, très actifs dans le Nord du pays, et bien entendu les organisations jihadistes, n'ont pas été invités.
Dans la capitale du Kazakhstan, les négociations vont porter sur l'après-conflit qui ensanglante la Syrie depuis 2011 et les premières manifestations d'opposants très vite réprimées violemment par le pouvoir. Le cessez-le-feu conclu le 30 décembre 2016 après la prise d'Alep par les forces du régime, et qui reste très instable, était un préalable pour réunir tout le monde autour d'une table. Assurer sa pérennité devient l'un des enjeux de cette réunion. Seul un arrêt des combats, au moins entre opposition et forces armées régulières, permettra la poursuite des discussions et l'entrée dans le processus politique.
Il faudra ensuite résoudre un problème de taille pour retrouver un état de droit en Syrie : vaincre l'ennemi commun, les différentes organisations jihadistes.
Lire aussi :Bachar al-Assad entend libérer tout son pays
Seuls les Kurdes syriens, très actifs dans le Nord du pays, et bien entendu les organisations jihadistes, n'ont pas été invités.
Dans la capitale du Kazakhstan, les négociations vont porter sur l'après-conflit qui ensanglante la Syrie depuis 2011 et les premières manifestations d'opposants très vite réprimées violemment par le pouvoir. Le cessez-le-feu conclu le 30 décembre 2016 après la prise d'Alep par les forces du régime, et qui reste très instable, était un préalable pour réunir tout le monde autour d'une table. Assurer sa pérennité devient l'un des enjeux de cette réunion. Seul un arrêt des combats, au moins entre opposition et forces armées régulières, permettra la poursuite des discussions et l'entrée dans le processus politique.
Il faudra ensuite résoudre un problème de taille pour retrouver un état de droit en Syrie : vaincre l'ennemi commun, les différentes organisations jihadistes.
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