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TUNISIE. Âgée de trente ans, Mena Guebla, qui s'est fait explosé à Tunis lundi 29 octobre 2018, était titulaire d'un master en anglais des affaires depuis 2014. Travaillant parfois comme bergère ou ouvrière agricole pour la récolte des olives, elle se trouvait au chômage depuis quatre ans et avait quitté le domicile familial depuis un an et demi. Elle préparait un doctorat.
Lors de la perquisition à son domicile, situé dans la localité rurale de Zerda (région de Mahdia à l'Est du pays), la police a saisi cinq téléphones portables, des livres, un appareil photo, et des documents de propagande islamiste.
Ses parents, transférés de Zerda à Tunis, ont été entendus par le pôle national antiterroriste.
Les agents de la brigade nationale de lutte contre le terrorisme auraient mis en garde en vue, le jour de l'attentat, un homme âgé de vingt-cinq ans et connu pour son idéologie islamiste extrémiste, ce qui n'était pas le cas de la femme kamikaze, une première en Tunisie. Pour ses parents, leur fille "a été une proie du terrorisme" et a "été sûrement manipulée."
Les services de sécurité, qui ne connaissaient pas Mena Guebla, parle d'un "attaque artisanale" et d'un "acte isolé". L'attentat n'a pas été revendiqué. Il a causé vingt blessés légers dont quinze policiers et cinq civils (deux adolescents).
Lors de la perquisition à son domicile, situé dans la localité rurale de Zerda (région de Mahdia à l'Est du pays), la police a saisi cinq téléphones portables, des livres, un appareil photo, et des documents de propagande islamiste.
Ses parents, transférés de Zerda à Tunis, ont été entendus par le pôle national antiterroriste.
Les agents de la brigade nationale de lutte contre le terrorisme auraient mis en garde en vue, le jour de l'attentat, un homme âgé de vingt-cinq ans et connu pour son idéologie islamiste extrémiste, ce qui n'était pas le cas de la femme kamikaze, une première en Tunisie. Pour ses parents, leur fille "a été une proie du terrorisme" et a "été sûrement manipulée."
Les services de sécurité, qui ne connaissaient pas Mena Guebla, parle d'un "attaque artisanale" et d'un "acte isolé". L'attentat n'a pas été revendiqué. Il a causé vingt blessés légers dont quinze policiers et cinq civils (deux adolescents).