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ÉGYPTE / FRANCE. Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi et Jean-Yves Le Drian, ministre français de la Défense parapheront, lundi 16 février 2015 au Caire, le contrat de vente de vingt-quatre avions Rafale avec le groupe Dassault Aviation (3,6 mrds€ de chiffre d'affaires en 2014 et 11 600 salariés).
Des négociations expresses (quelques mois) pour l’achat de ces avions de combat ont été entreprises entre la France et l’Égypte, après la visite du président égyptien, à Paris en novembre 2014. Il s'agit du premier contrat à l'export pour le Rafale. Lancé en juillet 1986 et mis en service en mai 2001, cet avion de chasse multirôle capable d'effectuer une frappe nucléaire n'est présent aujourd'hui que dans les forces armées françaises depuis 2002 dans la Marine nationale et 2016 dans l'Armée de l'air. Il est issu d'un programme (43,56 mrds€) rassemblant cinq cent entreprises dont Dassault Aviation, Thalès et Safran MBDA.
Les Rafales de Dassault viendront non seulement renforcer l’arsenal de l’armée égyptienne, qui se trouve actuellement impliquée dans une guerre contre le terrorisme, mais également conforter l’Etat dans son rôle de stabilisateur dans la région du Moyen-Orient.
Selon Eric Trappier, Pdg de Dassault Aviation, s'exprimant sur BFM TV, la livraison des trois premiers avions au Caire interviendra "dès cette année... Puis il y en aura encore trois autres un peu plus tard." L'ensemble des vingt-quatre avions seront fabriquée en France. Les premiers livrés en Égypte seront prélevés sur le contingent en cours de fabrication pour l'armée française.
En plus de ses avions sophistiqués, l’Égypte acquiert à travers ce contrat d’une valeur de 5,2 mrds€, une frégate multi-missions du groupe DCNS (FREMM) et divers autres équipements associés (missiles).
Les forces de l’armée égyptienne, qui comptait essentiellement jusque-là sur les États-Unis pour moderniser son matériel opte cette fois-ci pour l'industriel français. Cette démarche aurait comme objectif la diversification des sources d’achats de ses équipements militaires.
La télévision gouvernementale égyptienne a relevé, vendredi 13 février 2015, les remerciements adressés par Eric Trappier quant à la confiance accordée par les autorités égyptiennes à son entreprise.
Des négociations expresses (quelques mois) pour l’achat de ces avions de combat ont été entreprises entre la France et l’Égypte, après la visite du président égyptien, à Paris en novembre 2014. Il s'agit du premier contrat à l'export pour le Rafale. Lancé en juillet 1986 et mis en service en mai 2001, cet avion de chasse multirôle capable d'effectuer une frappe nucléaire n'est présent aujourd'hui que dans les forces armées françaises depuis 2002 dans la Marine nationale et 2016 dans l'Armée de l'air. Il est issu d'un programme (43,56 mrds€) rassemblant cinq cent entreprises dont Dassault Aviation, Thalès et Safran MBDA.
Les Rafales de Dassault viendront non seulement renforcer l’arsenal de l’armée égyptienne, qui se trouve actuellement impliquée dans une guerre contre le terrorisme, mais également conforter l’Etat dans son rôle de stabilisateur dans la région du Moyen-Orient.
Selon Eric Trappier, Pdg de Dassault Aviation, s'exprimant sur BFM TV, la livraison des trois premiers avions au Caire interviendra "dès cette année... Puis il y en aura encore trois autres un peu plus tard." L'ensemble des vingt-quatre avions seront fabriquée en France. Les premiers livrés en Égypte seront prélevés sur le contingent en cours de fabrication pour l'armée française.
En plus de ses avions sophistiqués, l’Égypte acquiert à travers ce contrat d’une valeur de 5,2 mrds€, une frégate multi-missions du groupe DCNS (FREMM) et divers autres équipements associés (missiles).
Les forces de l’armée égyptienne, qui comptait essentiellement jusque-là sur les États-Unis pour moderniser son matériel opte cette fois-ci pour l'industriel français. Cette démarche aurait comme objectif la diversification des sources d’achats de ses équipements militaires.
La télévision gouvernementale égyptienne a relevé, vendredi 13 février 2015, les remerciements adressés par Eric Trappier quant à la confiance accordée par les autorités égyptiennes à son entreprise.