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TUNISIE. Évoquant un gouvernement "totalement impuissant et sans vision" et une situation du pays "catastrophique", Moncef Marzouki a lancé dimanche 20 décembre 2015 son propre parti.
Baptisé Al Irada, la volonté en Arabe, ce parti de l'ancien président tunisien (fin 2011 à 2014) veut proposer une alternative à la politique actuelle menée par le président Béji Caïd Essebsi et son premier ministre Habib Essid nommé en janvier 2015.
Âgé de soixante dix ans, Moncef Marzouki entend "continuer le rêve tunisien... Ce rêve, c'est que nous devenions un peuple de citoyens...qui ont leurs droits sociaux, économiques, politiques, culturels, et qui jouissent de ceux-ci. Ce n'est pas encore le cas." Il mettra sur pied ce parti avant d'en laisser la direction aux jeunes.
Moncef Marzouki reste très critique envers les dirigeants actuels qu'il qualifie de "corrompus notoires, issus de l'ancien régime... qui ruinent le moral du pays.", allant jusqu'à dire "j'ai vu l'effondrement de la politique étrangère, de l'économie."
Al Irada participera aux prochaines élections municipales prévues fin 2016.
Baptisé Al Irada, la volonté en Arabe, ce parti de l'ancien président tunisien (fin 2011 à 2014) veut proposer une alternative à la politique actuelle menée par le président Béji Caïd Essebsi et son premier ministre Habib Essid nommé en janvier 2015.
Âgé de soixante dix ans, Moncef Marzouki entend "continuer le rêve tunisien... Ce rêve, c'est que nous devenions un peuple de citoyens...qui ont leurs droits sociaux, économiques, politiques, culturels, et qui jouissent de ceux-ci. Ce n'est pas encore le cas." Il mettra sur pied ce parti avant d'en laisser la direction aux jeunes.
Moncef Marzouki reste très critique envers les dirigeants actuels qu'il qualifie de "corrompus notoires, issus de l'ancien régime... qui ruinent le moral du pays.", allant jusqu'à dire "j'ai vu l'effondrement de la politique étrangère, de l'économie."
Al Irada participera aux prochaines élections municipales prévues fin 2016.