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GRECE. Les ministres des finances européens ont décidé, dimanche 19 juin 2011, lors d'une réunion à Luxembourg, du report du déblocage de la cinquième tranche de l'aide à Athènes jusqu'à ce que le gouvernement adopte un nouveau programme d'austérité.
Le vote de ce nouveau projet de loi, visant à réduire les dépenses publics, suscitent l'inquiétude des citoyens grecs et est actuellement toujours en discussion au Parlement. La cinquième tranche d'aide de 12 mrds € était prévue dans le cadre du plan de 110 mrds€ approuvé en mai 2010.
Le ministre belge des finances, Didier Reynders, a confirmé que "les fonds ne seraient pas débloqués pour le moment, même si des discussions s'engageront entre les départements du Trésor des principaux États membres et les créanciers privés de la Grèce". Un déblocage qui dépendra de "l'adoption de législations clés sur la stratégie budgétaire et les privatisations par le Parlement grec".
Des avancées ont cependant vu le jour. Les ministres de la zone euro se sont accordés quant au poids à donner aux créanciers privés. Il s'agira, comme Angela Merkel et Nicolas Sarkozy l'avaient désiré à Berlin, vendredi 17 juin 2011, d'une participation informelle et volontaire.
«Les ministres se sont mis d'accord sur le fait que les financements additionnels nécessaires seront financés à la fois par des sources officielles et privées» déclaraient à l'unisson les ministres des finances de la zone euro, dimanche 19 juin 2011.
Le premier ministre grec, George Papandréou et le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso doivent se rencontrer, lundi 20 juin 2011, pour faire un point sur l'avancée dans la mise en place du programme d'austérité.
Le vote de ce nouveau projet de loi, visant à réduire les dépenses publics, suscitent l'inquiétude des citoyens grecs et est actuellement toujours en discussion au Parlement. La cinquième tranche d'aide de 12 mrds € était prévue dans le cadre du plan de 110 mrds€ approuvé en mai 2010.
Le ministre belge des finances, Didier Reynders, a confirmé que "les fonds ne seraient pas débloqués pour le moment, même si des discussions s'engageront entre les départements du Trésor des principaux États membres et les créanciers privés de la Grèce". Un déblocage qui dépendra de "l'adoption de législations clés sur la stratégie budgétaire et les privatisations par le Parlement grec".
Des avancées ont cependant vu le jour. Les ministres de la zone euro se sont accordés quant au poids à donner aux créanciers privés. Il s'agira, comme Angela Merkel et Nicolas Sarkozy l'avaient désiré à Berlin, vendredi 17 juin 2011, d'une participation informelle et volontaire.
«Les ministres se sont mis d'accord sur le fait que les financements additionnels nécessaires seront financés à la fois par des sources officielles et privées» déclaraient à l'unisson les ministres des finances de la zone euro, dimanche 19 juin 2011.
Le premier ministre grec, George Papandréou et le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso doivent se rencontrer, lundi 20 juin 2011, pour faire un point sur l'avancée dans la mise en place du programme d'austérité.