
Trois candidats sont retenus pour la reprise des parts chinoises de l'aéroport de Toulouse (photo : Philippe Garcia/Aéroport Toulouse-Blagnac)
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FRANCE. Selon nos confrères de La Dépêche du Midi, trois entreprises se trouvent dans le sprint final pour reprendre les 49,9% de parts détenues par le Casil Europe dans l'aéroport de Toulouse-Blagnac.
Le consortium chinois, composé de Friedmann Pacific Asset Management et de Shandong Hi Speed Group, a décidé de sortir du capital de la plate-forme française (9,6 millions de passagers transportés en 2018) après y être entré en avril 2015 pour 308 M€ suite à la privatisation décidée en décembre 2014 par l'Etat français. Le contrat prévoyait une option de vente des 10,01 de parts de l'Etat jusqu'au 17 avril 2019 mais Paris a déjà annoncé qu'il ne l'exercerait pas.
Dix dossiers de candidature ont été déposés et trois noms ont été pré-sélectionnés par les actionnaires chinois : le consortium constitué de Vinci Airports, Caisse des dépôts infrastructure et Prédica (groupe Crédit Agricole), le consortium mené par la société de capital investissement Ardian associée à la Banque populaire Occitane, la Caisse d'Epargne Midi-Pyrénées et les fonds Mirova (Natixis) et, le dernier, Eiffage qui part seul.
L'aéroport de Toulouse-Blagnac disposera donc à terme de nouveau d'un capital 100% français, l'ensemble des concurrents l'étant.
Ils doivent désormais déposer une offre ferme et ont jusqu'au 15 mars 2019 pour le faire. Casil Europe attend un minimum de 500 M€ de cette opération qui devrait être bouclée en mai 2019.
Le consortium chinois, composé de Friedmann Pacific Asset Management et de Shandong Hi Speed Group, a décidé de sortir du capital de la plate-forme française (9,6 millions de passagers transportés en 2018) après y être entré en avril 2015 pour 308 M€ suite à la privatisation décidée en décembre 2014 par l'Etat français. Le contrat prévoyait une option de vente des 10,01 de parts de l'Etat jusqu'au 17 avril 2019 mais Paris a déjà annoncé qu'il ne l'exercerait pas.
Dix dossiers de candidature ont été déposés et trois noms ont été pré-sélectionnés par les actionnaires chinois : le consortium constitué de Vinci Airports, Caisse des dépôts infrastructure et Prédica (groupe Crédit Agricole), le consortium mené par la société de capital investissement Ardian associée à la Banque populaire Occitane, la Caisse d'Epargne Midi-Pyrénées et les fonds Mirova (Natixis) et, le dernier, Eiffage qui part seul.
L'aéroport de Toulouse-Blagnac disposera donc à terme de nouveau d'un capital 100% français, l'ensemble des concurrents l'étant.
Ils doivent désormais déposer une offre ferme et ont jusqu'au 15 mars 2019 pour le faire. Casil Europe attend un minimum de 500 M€ de cette opération qui devrait être bouclée en mai 2019.