
La grève des pompiers ne permettrait pas de poursuivre le trafic aérien sur l'aéroport de Toulouse (photo : Falck)
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HAUTE-GARONNE. Les négociations se poursuivent jeudi 19 janvier 2017 entre les pompiers de l'aéroport de Toulouse et la direction de l'entreprise danoise Falck (11 000 salariés dans le monde et 3,89 M€ de chiffre d'affaires en 2015 pour Falck France), prestataire de la plate-forme pour assurer la sécurité des avions sur la piste.
Les pompiers piste de l'aéroport de Toulouse Blagnac (ATB) ont déposé, jeudi 18 janvier 2017, un préavis de grève à partir du vendredi 20 janvier 2017 à 6h45 et pour une durée indéterminée. Ils réclament un retour au système de vacation en 24h, en vigueur jusqu'en 2014. "Aujourd'hui, ATB privilégie le développement de l'activité des vols en journée et en soirée, limitant les vols en coeur de nuit. Cette évolution ne nécessite dont pas une intervention H24 d'une équipe complète de pompiers de piste, l'organisation actuelle répondant en tous points à la réglementation européenne en vigueur, en matière de sécurité aérienne", précise l'aéroport dans un communiqué.
Si les pompiers n'arrivaient pas à se mettre d'accord avec leur direction et celle de l'aéroport, et donc maintenaient leur préavis de grève, le trafic aérien serait intégralement interrompu sur le tarmac toulousain jusqu'à la fin de la grève.
L'aéroport de Toulouse-Blagnac a accueilli 8,08 millions passagers en 2016, en progression de 5,4%.
Les pompiers piste de l'aéroport de Toulouse Blagnac (ATB) ont déposé, jeudi 18 janvier 2017, un préavis de grève à partir du vendredi 20 janvier 2017 à 6h45 et pour une durée indéterminée. Ils réclament un retour au système de vacation en 24h, en vigueur jusqu'en 2014. "Aujourd'hui, ATB privilégie le développement de l'activité des vols en journée et en soirée, limitant les vols en coeur de nuit. Cette évolution ne nécessite dont pas une intervention H24 d'une équipe complète de pompiers de piste, l'organisation actuelle répondant en tous points à la réglementation européenne en vigueur, en matière de sécurité aérienne", précise l'aéroport dans un communiqué.
Si les pompiers n'arrivaient pas à se mettre d'accord avec leur direction et celle de l'aéroport, et donc maintenaient leur préavis de grève, le trafic aérien serait intégralement interrompu sur le tarmac toulousain jusqu'à la fin de la grève.
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