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ARMENIE/TURQUIE. Signé avec difficulté samedi 10 octobre, l’accord de normalisation diplomatique entre la Turquie et l’Arménie doit encore être ratifié par leurs parlements respectifs.
Cet accord historique doit permettre de rouvrir les frontières entre les deux pays, fermées depuis 1993 en raison d’un conflit sur le Haut-Karabakh, province revendiquée par l’Azerbaïdjan et occupée depuis 1994 par les Arméniens.
Il doit aussi ouvrir une plus large coopération sur des domaines comme les échanges commerciaux, l’environnement ou encore l’énergie.
La normalisation des relations entre l’Arménie et la Turquie pourrait ainsi permettre d’envisager un passage par l’Arménie pour le pipeline Nabucco à la place de la Géorgie. Nabucco doit permettre d’amener le gaz de l’Asie centrale jusqu’en Europe.
Cet accord historique doit permettre de rouvrir les frontières entre les deux pays, fermées depuis 1993 en raison d’un conflit sur le Haut-Karabakh, province revendiquée par l’Azerbaïdjan et occupée depuis 1994 par les Arméniens.
Il doit aussi ouvrir une plus large coopération sur des domaines comme les échanges commerciaux, l’environnement ou encore l’énergie.
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