
Rafiq Al-Husseini, représentant du Secrétariat Général à l'Environnement et à l'Eau au sein de l'UpM (photo : F. Matéo)
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ESPAGNE / MÉDITERRANÉE Les quatrième rencontres du Groupe des Experts de l'Eau de l’Union pour la Méditerranée (UpM), organisées à Barcelone les 17 et 18 mai 2011, étaient l’occasion de « prendre le pouls » d'une institution en quête d'identité.
Le travail fourni par cette commission d'experts, composée des représentants de vingt-deux états, permet d'être optimiste sur l’avenir de l'UpM, si l'on se base sur les décisions techniques qui ont été prises.
Le travail fourni par cette commission d'experts, composée des représentants de vingt-deux états, permet d'être optimiste sur l’avenir de l'UpM, si l'on se base sur les décisions techniques qui ont été prises.
La principale initiative concerne le vote, à l'unanimité du groupe d'experts, du soutien au projet de traitement des eaux de Gaza, dont l'essentiel de la nappe phréatique est aujourd'hui polluée. Un dossier porté par la France, l'Italie et la Grèce, qui permettra de mobiliser 400 M€ pour les travaux nécessaires à l'assainissement.
Présent au sein du Groupe, Israël a donc également soutenu ce projet vital pour la constitution du futur État palestinien.
« Au delà de cette décision, nous avons affirmé notre stratégie à long terme sur la coordination des politiques d’environnement de part et d'autre de la Méditerranée, et nous avons prouvé que nous sommes bien vivants », a commenté Rafiq Al-Husseini, représentant du Secrétariat Général à l'Environnement et à l'Eau au sein de l'UpM.
Reste maintenant à consolider l'identité politique, avec la nomination attendue d'ici le 27 juin 2011 du nouveau président de l'Union pour la Méditerranée. Le Marocain Youssef Amrani fait figure de favori pour ce poste, où il pourrait être épaulé par un vice-président Jordanien.
Présent au sein du Groupe, Israël a donc également soutenu ce projet vital pour la constitution du futur État palestinien.
« Au delà de cette décision, nous avons affirmé notre stratégie à long terme sur la coordination des politiques d’environnement de part et d'autre de la Méditerranée, et nous avons prouvé que nous sommes bien vivants », a commenté Rafiq Al-Husseini, représentant du Secrétariat Général à l'Environnement et à l'Eau au sein de l'UpM.
Reste maintenant à consolider l'identité politique, avec la nomination attendue d'ici le 27 juin 2011 du nouveau président de l'Union pour la Méditerranée. Le Marocain Youssef Amrani fait figure de favori pour ce poste, où il pourrait être épaulé par un vice-président Jordanien.