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Jean-Claude Juncker, chef de file de l'Eurogroupe (photo DR)
GRECE / EUROPE. Des responsables européens ont estimé, mercredi 18 mai 2011, qu'il serait nécessaire de restructurer la dette grecque pour espérer pouvoir sortir le pays de ses difficultés financières et budgétaires. Des réserves ont été émises.
Le Président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker a, en effet, estimé qu'une "restructuration douce" de la dette publique grecque serait nécessaire.
Cette restructuration serait conditionnée à la mise en place immédiate des mesures d'austérité, programmées lors de la mise en place du plan d'aide de 110 mds€ en mai 2010. Notamment le plan de privatisations de 50 mds€ devra être réellement appliqué par le gouvernement grec.
Le premier ministre luxembourgeois a déclaré plein d'espoir que si "la Grèce fait tous ces efforts, alors nous devons voir si il est possible de réaliser une restructuration douce pour la Grèce."
Le Président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker a, en effet, estimé qu'une "restructuration douce" de la dette publique grecque serait nécessaire.
Cette restructuration serait conditionnée à la mise en place immédiate des mesures d'austérité, programmées lors de la mise en place du plan d'aide de 110 mds€ en mai 2010. Notamment le plan de privatisations de 50 mds€ devra être réellement appliqué par le gouvernement grec.
Le premier ministre luxembourgeois a déclaré plein d'espoir que si "la Grèce fait tous ces efforts, alors nous devons voir si il est possible de réaliser une restructuration douce pour la Grèce."
Certaines réserves ont néanmoins été émises
Cependant plusieurs ministres émettent encore certaines réserves estimant que le terme "restructuration" est un peu trop fort. Le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires Olli Rehn, a tenu à préciser que seul un « reprofilage » serait envisageable. Ou encore, Christine Lagarde, ministre française de l'économie a estimé que cette restructuration ne devait en aucun cas signifier "un événement de crédit".
De plus, même le premier ministre grec, Georges Papandréou a estimé qu’une restructuration de la dette n’était pas nécessaire si les mesures d’austérité sont appliquées. Il estime que « la dette est viable » et qu’il sera possible de dégager « un excédent budgétaire primaire à partir de 2014 ».
De plus, même le premier ministre grec, Georges Papandréou a estimé qu’une restructuration de la dette n’était pas nécessaire si les mesures d’austérité sont appliquées. Il estime que « la dette est viable » et qu’il sera possible de dégager « un excédent budgétaire primaire à partir de 2014 ».