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Bachar al-Assad promet une pluralité lors des prochaines législatives (photo DR)
SYRIE. Alors que la communauté internationale ne cesse de s'élever contre la répression des manifestations dans son pays, Bachar al-Assad a annoncé dimanche 21 août 2011 au soir, qu'il organiserait en février 2012 des élections législatives.
Dans son intervention à la télévision d'Etat, le président syrien a précisé que "la solution de la crise qui secoue depuis cinq mois le pays devrait être politique." Il promet des réformes constitutionnelles pour permettre à d'autres partis que le Baas de se présenter.
Cette annonce devrait circuler dans les couloirs de la session extraordinaire du Conseil des droits de l'homme de l'Onu sur la crise en Syrie réunie depuis lundi 22 août 2011 à la demande de vingt-trois pays dont l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Qatar et le Koweit. Les Nations Unies entendent mettre en place une commission d'enquête indépendante sur les exactions commises en Syrie depuis mars 2011 et les premiers soulèvements. Selon l'ONU, 2 000 morts seraient recensés parmi les manifestants.
Cette réunion pourrait déboucher sur la publication d'un projet de résolution demandant de cesser immédiatement tous les actes de violence contre la population.
Dimanche 21 août 2011, l'opposition syrienne rassemblée à Istanbul, a évoqué l'idée de créer un Conseil national d'opposition pour préparer la transition démocratique.
De son côté, Bachar al-Assad, lors de son intervention télévisée, a mis en garde les occidentaux contre toutes velléité de recours à la force. "En ce qui concerne la menace d'un recours à la force, toute initiative contre la Syrie aura des conséquences plus graves. D'abord du fait de la situation géopolitique de la Syrie, puis en raison des capacités syriennes." Le président syrien ne voudrait pas d'un scénario à la libyenne.
Dans son intervention à la télévision d'Etat, le président syrien a précisé que "la solution de la crise qui secoue depuis cinq mois le pays devrait être politique." Il promet des réformes constitutionnelles pour permettre à d'autres partis que le Baas de se présenter.
Cette annonce devrait circuler dans les couloirs de la session extraordinaire du Conseil des droits de l'homme de l'Onu sur la crise en Syrie réunie depuis lundi 22 août 2011 à la demande de vingt-trois pays dont l'Arabie saoudite, la Jordanie, le Qatar et le Koweit. Les Nations Unies entendent mettre en place une commission d'enquête indépendante sur les exactions commises en Syrie depuis mars 2011 et les premiers soulèvements. Selon l'ONU, 2 000 morts seraient recensés parmi les manifestants.
Cette réunion pourrait déboucher sur la publication d'un projet de résolution demandant de cesser immédiatement tous les actes de violence contre la population.
Dimanche 21 août 2011, l'opposition syrienne rassemblée à Istanbul, a évoqué l'idée de créer un Conseil national d'opposition pour préparer la transition démocratique.
De son côté, Bachar al-Assad, lors de son intervention télévisée, a mis en garde les occidentaux contre toutes velléité de recours à la force. "En ce qui concerne la menace d'un recours à la force, toute initiative contre la Syrie aura des conséquences plus graves. D'abord du fait de la situation géopolitique de la Syrie, puis en raison des capacités syriennes." Le président syrien ne voudrait pas d'un scénario à la libyenne.